couverture

Petit traité sur le racisme

Laferrière, Dany

  • Éditeur : Éditions Du Boréal
  • 224 pages
  • ISBN 9782764626931
  • Paru le 14 juin 2021
  • 24,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Le racisme, c’est si simple au fond. C’est une affaire de Blanc et de Noir où le Blanc concentre entre ses mains tous les pouvoirs. Pourquoi alors est-ce si difficile de le reconnaître? Pourquoi alors ne sommes-nous pas arrivés à enrayer ce poison qui ronge toutes les sphères de la vie en Amérique du Nord, de la course à la Maison-Blanche jusqu’aux campus universitaires et aux simples réunions entre collègues et amis?Dany Laferrière se penche sur cette question non pas en politique ou en pamphlétaire, mais en écrivain. En cela, il se place en héritier de James Baldwin. Il met de la chair et de la douleur dans cette tragédie qu’est le racisme.Il nous parle de désir et de souffrance, de musique et de poésie, de colère et d’orgueil. Il nous parle de Frederick Douglass et de Harriet Tubman, du costard de Jean-Michel Basquiat et de l’afro d’Angela Davis. Il nous parle de Ralph Ellison et de Langston Hughes, d’Anténor Firmin et de Jean-Jacques Rousseau, de Thomas Shipp et d’Abram Smith, qu’on a lynchés parce qu’ils ont osé regarder une Blanche. Il nous parle de couleurs et de musiques, d’humiliation et de triomphe, de souffrance et de rédemption, des photographies de Gordon Parks et des improvisations de Miles Davis, de Harriet Beecher Stowe et de Richard Wright, de W. E. B. Du Bois et de Léopold Senghor, de Tupac Shakur et d’Abraham Lincoln, de Martin Luther King et de René Lévesque.Il nous parle enfin de Bessie Smith, qui chantait sa douleur sans fin pour qu’on oublie la nôtre, et de Toni, de Maya, de Billie, de Nina, ces filles à qui appartient le monde.L’auteur de «L’Énigme du retour» nous donne ici un livre emmaillé à notre époque et à l’actualité, mais il prend la hauteur nécessaire pour que nous puissions l’embrasser dans toute sa complexité, trouver la force de guérir les blessures qui saignent encore.

Quatrième de couverture

Le racisme, c’est si simple au fond. C’est une affaire de Blanc et de Noir où le Blanc concentre entre ses mains tous les pouvoirs. Pourquoi alors est-ce si difficile de le reconnaître? Pourquoi alors ne sommes-nous pas arrivés à enrayer ce poison qui ronge toutes les sphères de la vie en Amérique du Nord, de la course à la Maison-Blanche jusqu’aux campus universitaires et aux simples réunions entre collègues et amis?Dany Laferrière se penche sur cette question non pas en politique ou en pamphlétaire, mais en écrivain. En cela, il se place en héritier de James Baldwin. Il met de la chair et de la douleur dans cette tragédie qu’est le racisme.Il nous parle de désir et de souffrance, de musique et de poésie, de colère et d’orgueil. Il nous parle de Frederick Douglass et de Harriet Tubman, du costard de Jean-Michel Basquiat et de l’afro d’Angela Davis. Il nous parle de Ralph Ellison et de Langston Hughes, d’Anténor Firmin et de Jean-Jacques Rousseau, de Thomas Shipp et d’Abram Smith, qu’on a lynchés parce qu’ils ont osé regarder une Blanche. Il nous parle de couleurs et de musiques, d’humiliation et de triomphe, de souffrance et de rédemption, des photographies de Gordon Parks et des improvisations de Miles Davis, de Harriet Beecher Stowe et de Richard Wright, de W. E. B. Du Bois et de Léopold Senghor, de Tupac Shakur et d’Abraham Lincoln, de Martin Luther King et de René Lévesque.Il nous parle enfin de Bessie Smith, qui chantait sa douleur sans fin pour qu’on oublie la nôtre, et de Toni, de Maya, de Billie, de Nina, ces filles à qui appartient le monde.L’auteur de «L’Énigme du retour» nous donne ici un livre emmaillé à notre époque et à l’actualité, mais il prend la hauteur nécessaire pour que nous puissions l’embrasser dans toute sa complexité, trouver la force de guérir les blessures qui saignent encore.