couverture

Pieuvre (La)

Ferland Milewski, Claude

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Résumé

Hippolyte Lazard a seize ans et il a une pieuvre dans la tête. Une pieuvre maligne, héritée de sa mère. Il vit dans une maison toute verticale d’une cité balnéaire d’Espagne, va au lycée français et n’a qu’une vraie amie, Odile, son acolyte, la complice de tous ses mauvais coups. Porté par une langue où tout est musique, mouvement, forme, couleur, le premier roman de Claude Ferland Milewski est l’affirmation d’un fabuleux tempérament artistique.

Quatrième de couverture

Hippolyte Lazard a seize ans et il a une pieuvre dans la tête. Une pieuvre maligne, héritée de sa mère. Il vit dans une maison toute verticale d’une cité balnéaire d’Espagne, va au lycée français et n’a qu’une vraie amie, Odile, son acolyte, la complice de tous ses mauvais coups. Le quotidien est marqué par la maladie – celle de la mère et celle du fils –, par les visites à la mer, par les excentricités d’Odile, qui entraîne son ami dans toutes sortes de folles courses à travers la ville : chasses à l’homme, missions d’espionnage, jeux de rôle et petits larcins. Hippolyte tente de la suivre, tant bien que mal, alourdi par la pieuvre qui remue dans son cerveau. Les deux amis font la rencontre de Clément, dont Hippolyte tombe éperdument amoureux : « Clément, ma digue. Clément, la falaise d’où je vois tout, d’où le monde m’apparaît. » À partir de ce jour, le duo devient trio. Tout l’été, ils écoutent David Bowie sur le toit de la maison des Lazard, en haut de longs escaliers. Ils boivent et enfilent les cigarettes, squattent la galerie d’art dont le père de Clément est propriétaire. Ils sont les rois de la montagne. Porté par une langue où tout est musique, mouvement, forme, couleur, le premier roman de Claude Ferland Milewski est l’affirmation d’un fabuleux tempérament artistique.