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« Ma blessure n'est pas née directement des conditions extrêmes de la guerre et de sa laideur. Elle n'est pas le résultat de combats ni d'un incident particulier. Pour moi comme pour de trop nombreux anciens combattants, la source de cette blessure de stress opérationnel réside dans les assauts répétés contre nos valeurs et nos croyances les plus sacrées et les mieux enracinées. Les complications physiques peuvent se révéler mortelles, mais le TSPT est aussi une blessure morale qui détruit notre esprit et notre âme. »Témoin du génocide rwandais de 1994, le lieutenant-général Roméo Dallaire en est resté profondément marqué. Dans cette suite de J'ai serré la main du diable, il réfléchit à la fois sur la nature du trouble de stress post-traumatique (TSPT) et sur les effets de cette souffrance à la fois physique et spirituelle. En parallèle, il raconte divers épisodes de sa vie : sa destitution de l'armée pour raisons médicales, son passage au Sénat canadien, les événements douloureux qu'il a vécus pendant la rédaction de son premier livre.Le récit courageux d'un ancien militaire dont les nuits sont envahies par le désespoir, mais qui, aux premières lueurs de l'aube, fait face à la réalité avec un désir sans cesse renouvelé de changer le monde.
Humanitaire célèbre, le lieutenant-général Roméo Dallaire est entré dans les Forces armées canadiennes (FAC) en 1964. Depuis son retour du Rwanda, il a servi en tant que général-commandant de la 1re division canadienne et commandant-adjoint de l'Armée de terre. Il a été promu au rang de lieutenant-général (3 étoiles) et a occupé plusieurs fonctions au sein du ministère de la Défense. Il continue de servir les membres des FAC et les anciens combattants en s'occupant du problème du syndrome de stress post-traumatique chez les soldats, syndrome dont il fut lui-même victime. Il a pris sa retraite des forces militaires en avril 2000, pour des raisons médicales. En janvier 2002, à Londres, en Angleterre, on lui décernait le prix Aegis pour la prévention du génocide. Il a signé le livre J'ai serré la main du diable. La faillite de l'humanité au Rwanda, lauréat du Prix littéraire du Gouverneur général. La version anglaise de son livre Ils se battent comme des soldats, ils meurent comme des enfants (They Fight Like Soldiers, They Die Like Children) a également été en nomination pour le prix Mavis-Gallant, décerné par la Quebec Writers' Federation. Aujourd'hui, il demeure un fervent défenseur des droits de la personne, de la santé mentale et des enfants touchés par la guerre. Il a fondé l'Initiative Enfants soldats Roméo Dallaire, un organisme voué à l'éradication progressive du recours aux enfants soldats partout dans le monde.
« Ma blessure n'est pas née directement des conditions extrêmes de la guerre et de sa laideur. Elle n'est pas le résultat de combats ni d'un incident particulier. Pour moi comme pour de trop nombreux anciens combattants, la source de cette blessure de stress opérationnel réside dans les assauts répétés contre nos valeurs et nos croyances les plus sacrées et les mieux enracinées. Les complications physiques peuvent se révéler mortelles, mais le TSPT est aussi une blessure morale qui détruit notre esprit et notre âme. » Témoin du génocide rwandais de 1994, le lieutenant-général Roméo Dallaire en est resté profondément marqué. Dans cette suite de J'ai serré la main du diable, il réfléchit à la fois sur la nature du trouble de stress post-traumatique (TSPT) et sur les effets de cette souffrance à la fois physique et spirituelle. En parallèle, il raconte divers épisodes de sa vie : sa destitution de l'armée pour raisons médicales, son passage au Sénat canadien, les événements douloureux qu'il a vécus pendant la rédaction de son premier livre.Le récit courageux d'un ancien militaire dont les nuits sont envahies par le désespoir, mais qui, aux premières lueurs de l'aube, fait face à la réalité avec un désir sans cesse renouvelé de changer le monde.