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Un essai sur le manque affectif et la dépression consécutive d'une rupture relationnelle, que le psychologue analyse comme les symptômes d'une base affective fragile, dont la consolidation doit passer par l'amour de soi.
Qui ne connaît, à un moment de sa vie, le sentiment de manquer d'amour ? À l'âge adulte, un événement de la vie (rupture amoureuse, perte d'un travail, deuil...) peut éveiller ou raviver ce sentiment de perte, d'abandon, cette impression d'être oublié, dévalorisé.... Souvent, ce sentiment trouve ses racines dans l'enfance. Car si l'on a été suffisamment aimé dans sa prime jeunesse, on a acquis une confiance en soi qui permet d'affronter la difficulté.. Pour se (re)construire, les exercices de volonté ou la fuite dans l'hyperactivité ne suffisent pas. Il est important d'identifier, au-delà de l'événement présent, de quelle façon on a manqué d'amour.. Au fil des lignes, on apprendra qu'il existe un bon narcissisme, que la passion n'est pas l'amour, qu'il ne faut plus rien attendre de ceux qui ne nous ont pas aimés jadis... Un essai qui nous permet de réfléchir à bien des épisodes de notre vie..
