couverture

De beaux rêves : obstacles philosophiques à une science de la conscience

Dennett, Daniel Clement

  • Éditeur : Eclat
  • Collection : Tiré à part
  • ISBN 9782841621620
  • Paru le 12 août 2008
  • 44,95 $ *

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Résumé

A partir d'expériences de pensée, l'auteur dénonce l'idée de conscience conçue comme un théâtre cartésien avançant le principe que la conscience humaine serait un logiciel mental qui réorganise l'architecture fonctionnelle du cerveau.

Quatrième de couverture

La conscience est un champ de bataille où s'affrontent les idées, en un tumulte sur lequel planent encore, après des siècles, les ombres du Théâtre Cartésien. Les certitudes en apparence les plus fortes continuent de dispenser un brouillard que Daniel Dennett s'efforce allègrement de dissiper en s'attaquant aux contresens ou aux pseudo-évidences dont la plupart des débats sont inutilement encombrés. Abandonnant le rêveur à ses rêves et le magicien à sa magie, Daniel Dennett poursuit ici, après La Conscience, expliquée, une entreprise de clarification qui tourne le dos aux convictions les plus tenaces, en faisant appel à un modèle qui ne s'en laisse pas conter, celui de la «célébrité dans le cerveau». «Dans le cerveau, pas de Roi, pas de Contrôleur officiel des programmes de la télévision d'État», écrit-il. La démocratie et l'anarchie y sont autrement plus actives et efficaces. La conscience n'est pas un «médium de représentation. Elle a bien plus d'affinités avec le monde de la célébrité qu'avec celui du médium télévisuel»..