couverture

Comment va la douleur ?

Garnier, Pascal

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Résumé

On ne saurait dire pourquoi l’univers de Pascal Garnier nous est si proche. Pourquoi il nous envoûte avec des histoires plutôt simples, des personnages a priori ordinaires et malmenés par la vie, des mots familiers et des silences qui le sont encore plus.Ainsi Bernard, crétin solaire qui pose sur le monde un doux regard écarquillé. C’est ce qui séduit Simon, le cynique et élégant Simon, « éradicateur de nuisibles » en préretraite, autant dire tueur à gages au bout du rouleau. La rencontre a lieu à Vals-les-Bains. Et le hasard fait bien les choses : Simon a de l’argent, et Bernard, tout son temps. Il sera son chauffeur pour sa dernière mission…Avec affection, on range les romans de Pascal Garnier au panthéon de nos auteurs d’atmosphère. Entre Simenon et Hardellet. Entre tendresse et cynisme, réalisme et humour désenchanté. Dans Comment va la douleur ? on retrouve cette façon si singulière et si attachante qui comme un miracle réjouit le cœur et fait du bien à l’âme.Figure marquante de la littérature française contemporaine, Pascal Garnier avait élu domicile dans un petit village en Ardèche pour se consacrer à l’écriture et à la peinture. Il nous a quittés en mars 2010. Peintre d’atmosphère alliant la poésie d’Hardellet à la technique de Simenon, styliste du détail juste, il excelle dans la mise en scène des vies simples, celles du voisinage, des souvenirs d’enfant, des je me souviens qui tissent nos mémoires. Mais chez Pascal Garnier, ce beau calme des banlieues de l’âme et de l’époque prépare toujours d’effroyables orages, avec froissement de tôles et morts en série…

Biographie de l'auteur.e

Figure marquante de la littérature française contemporaine, Pascal Garnier avait élu domicile dans un petit village en Ardèche pour se consacrer à l’écriture et à la peinture. Il nous a quittés en mars 2010. Peintre d’atmosphère alliant la poésie d’Hardellet à la technique de Simenon, styliste du détail juste, il excelle dans la mise en scène des vies simples, celles du voisinage, des souvenirs d’enfant, des je me souviens qui tissent nos mémoires. Mais chez Pascal Garnier, ce beau calme des banlieues de l’âme et de l’époque prépare toujours d’effroyables orages, avec froissement de tôles et morts en série…