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« La marche à pied mène au paradis. » Ainsi s’ouvre Mā, roman japonais, à la croisée de deux destins et d’une même quête – le détachement – et les moyens d’y parvenir : « Le saké pour le corps, le haïku pour le cœur. »Shōichi porte en lui le souvenir de Saori, la seule femme qu’il ait aimée, une universitaire qui a consacré sa vie à Santōka, le dernier grand haïkiste. Leur aventure aussi incandescente que brève initie le départ de Shōichi sur les pas de Santōka, de l’immense Bashō et de son maître Saigyō. Marcher, pour cette procession héroïque d’ascètes aventureux, de poètes, c’est échapper au ressassement, aux amours perdues, c’est vivre pleinement l’instant !Dans la lignée de l’inoubliable Peintre d’éventail, Hubert Haddad renoue avec la grâce d’une civilisation intemporelle aux prises avec les bouleversements du monde. Son écriture est comme la palpitation miraculeuse de la vie même, au milieu des montagnes et des forêts, à travers le chant des saisons, comme un chemin sur le chemin.Mā, dont le kanji 間 représente un soleil dans une porte, c’est l’« or du vide » : cette transition vibrante qui rend le langage et la musique possibles, en somme l’univers entier dans sa multiple et illusoire splendeur. Auteur d’une œuvre immense, portée par une attention de tous les instants aux ressources de l’imaginaire, Hubert Haddad nous implique magnifiquement dans son engagement d’intellectuel et d’artiste, avec des titres comme Palestine (Prix Renaudot Poche, Prix des cinq continents de la Francophonie), les deux volumes foisonnants du Nouveau Magasin d’écriture ou le très remarqué Peintre d’éventail (Prix Louis Guilloux, Grand Prix SGDL de littérature pour l’ensemble de l’œuvre), et tout récemment, Théorie de la vilaine petite fille.
Hubert Haddad nous implique magnifiquement dans son engagement d’intellectuel et d’artiste, avec des titres comme Palestine (Prix Renaudot Poche, Prix des cinq continents de la Francophonie), les deux volumes foisonnants du Nouveau Magasin d’écriture, ou le très remarqué Peintre d’éventail (Prix Louis Guilloux, Grand Prix SGDL de littérature pour l’ensemble de l’œuvre).
« La marche à pied mène au paradis. » Ainsi s’ouvre Mā, roman japonais, à la croisée de deux destins et d’une même quête – le détachement – et les moyens d’y parvenir : « Le saké pour le corps, le haïku pour le cœur. »Shōichi porte en lui le souvenir de Saori, la seule femme qu’il ait aimée, une universitaire qui a consacré sa vie à Santōka, le dernier grand haïkiste. Leur aventure aussi incandescente que brève initie le départ de Shōichi sur les pas de Santōka, de l’immense Bashō et de son maître Saigyō. Marcher, pour cette procession héroïque d’ascètes aventureux, de poètes, c’est échapper au ressassement, aux amours perdues, c’est vivre pleinement l’instant !Dans la lignée de l’inoubliable Peintre d’éventail, Hubert Haddad renoue avec la grâce d’une civilisation intemporelle aux prises avec les bouleversements du monde. Son écriture est comme la palpitation miraculeuse de la vie même, au milieu des montagnes et des forêts, à travers le chant des saisons, comme un chemin sur le chemin.Mā, dont le kanji 間 représente un soleil dans une porte, c’est l’« or du vide » : cette transition vibrante qui rend le langage et la musique possibles, en somme l’univers entier dans sa multiple et illusoire splendeur. Auteur d’une œuvre immense, portée par une attention de tous les instants aux ressources de l’imaginaire, Hubert Haddad nous implique magnifiquement dans son engagement d’intellectuel et d’artiste, avec des titres comme Palestine (Prix Renaudot Poche, Prix des cinq continents de la Francophonie), les deux volumes foisonnants du Nouveau Magasin d’écriture ou le très remarqué Peintre d’éventail (Prix Louis Guilloux, Grand Prix SGDL de littérature pour l’ensemble de l’œuvre), et tout récemment, Théorie de la vilaine petite fille.