couverture

Ce qu'ici-bas nous sommes

Roman

Blas de Roblès, Jean-Marie

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Résumé

Qui peut jurer de ne pas inventer, au moins en partie, ses souvenirs ? Certainement pas Augustin Harbour. Quarante ans plus tôt, errant dans le désert du sud libyen, il est tombé sur une mystérieuse oasis : Zindan. On y arrive de n’importe où, de n’importe quand, mais aucun des autres voyageurs échoués là ne sait comment en repartir. C’est que Hadj Hassan, Dieu lui-même, y vit, en compagnie de son envoûtante vestale, Maruschka Matlich.Réfugié dans une clinique de luxe, sur les rives du lac Calafquén au Chili, carnets, croquis et annotations à l’appui, Augustin dresse l’inventaire de cette extravagante épopée, des habitants et de leurs mœurs étranges – tabous ali- mentaires, pratiques sexuelles, objets sacrés et autres signes parleurs –, qui prend vite des allures de fantasmagorie. Présent et imaginaire se mêlent, comme pour une dangereuse immersion au cœur des ténèbres.Délirante invention d’un esprit malade ou intuition géniale d’un entendement hors du commun, le récit prodigieux et débridé d’Augustin nous emmène aux confins inexplorés de la folie. On retrouve dans ce roman phénoménal toute la fantaisie, l’humour, la virtuosité et l’érudition de l’auteur de Là où les tigres sont chez eux. Et un fameux coup de crayon !

Biographie de l'auteur.e

Révélé au grand public en 2008 avec Là où les tigres sont chez eux (Prix du roman Fnac, Prix du jury Jean Giono et Prix Médicis), puis L’Île du Point Némo, Jean-Marie Blas de Roblès ne cesse de nous ouvrir d’extraordinaires horizons de fiction. « Porté par les plaisirs du roman d’aventures, Jean-Marie Blas de Roblès accomplit l’ambition que devrait avoir tout écrivain conscient de ses pouvoirs. Il amène son lecteur vers une sorte d’étrangeté familière, où le monde, débarrassé des habitudes que nous avons prises avec lui, est soudain devant nous comme si nous le voyions pour la première fois. »Florent Georgesco, Le Monde des livres

Quatrième de couverture

Qui peut jurer de ne pas inventer, au moins en partie, ses souvenirs ? Certainement pas Augustin Harbour. Quarante ans plus tôt, errant dans le désert du sud libyen, il est tombé sur une mystérieuse oasis : Zindan. On y arrive de n’importe où, de n’importe quand, mais aucun des autres voyageurs échoués là ne sait comment en repartir. C’est que Hadj Hassan, Dieu lui-même, y vit, en compagnie de son envoûtante vestale, Maruschka Matlich.Réfugié dans une clinique de luxe, sur les rives du lac Calafquén au Chili, carnets, croquis et annotations à l’appui, Augustin dresse l’inventaire de cette extravagante épopée, des habitants et de leurs mœurs étranges – tabous ali- mentaires, pratiques sexuelles, objets sacrés et autres signes parleurs –, qui prend vite des allures de fantasmagorie. Présent et imaginaire se mêlent, comme pour une dangereuse immersion au cœur des ténèbres.Délirante invention d’un esprit malade ou intuition géniale d’un entendement hors du commun, le récit prodigieux et débridé d’Augustin nous emmène aux confins inexplorés de la folie. On retrouve dans ce roman phénoménal toute la fantaisie, l’humour, la virtuosité et l’érudition de l’auteur de Là où les tigres sont chez eux. Et un fameux coup de crayon !