couverture

Main à la pâte (La)

Orsini Natale, Maria

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Résumé

Le grand-père de Francesca lui a appris le secret de la pasta napoletana. Avec le succès, son atelier devient une entreprise. Et Francesca transmet son savoir à Nunziata, une orpheline qu'elle a élevée avec ses neuf enfants. Une fois adulte, Nunziata devient une rivale, conservant néanmoins dans les moments difficiles, des liens affectifs avec Francesca.

Quatrième de couverture

La Main à la pâte. L'une s'appelle Francesca, l'autre Nunziata : deux femmes issues du petit peuple de la région de Naples, deux générations (entre 1848 et 1940) au service du « bel art » de la pasta napoletana, ce régal des connaisseurs de toute la péninsule.. Francesca a appris de son grand-père meunier les secrets du métier. Elle développera le petit atelier artisanal jusqu'à en faire une entreprise florissante, puis transmettra le meilleur de son savoir à Nunziata, une orpheline qu'elle a élevée parmi ses neuf enfants à la suite d'un vœu. Cette dernière finira par s'installer à son compte et par rivaliser avec ses anciens bienfaiteurs... dont elle rachètera la « villa » orgueilleusement installée sur les pentes du Vésuve. Mais les deux femmes ne se bornent pas à s'affronter (tandis que les hommes de la famille font de leur mieux pour dilapider le bien patiemment amassé), elles savent s'estimer, se secourir quand il le faut - en tout cas faire front quand tout conspire à ruiner leur grand rêve.... Maria Orsini Natale sait mettre au service de son récit une érudition qui fait merveille, mais cela n'a jamais suffi à produire un bon livre. Elle parvient aussi et surtout à ressusciter la sensualité d'un art de vivre confié pour l'essentiel au bon génie des femmes. Voir ce Naples-là ne donne pas spécialement envie de mourir : plutôt envie de vivre - et de mordre l'existence à belles dents..