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Aborde la plus grave de toutes les questions, celle de la mort. Comment le sage peut-il l'envisager sans angoisse ni terreur, comment ne pas la considérer comme un mal absolu et enfin, comment la regarder en face sans désespérer.
Rédigées en 45 avant J.-C. dans sa villa de Tusculum, les Tusculanes - ou Disputationes - de Cicéron proposent une confrontation de l'être avec le monde où il se trouve. Dans une langue simple, lumineuse et sans excès rhétoriques, Cicéron entend faire l'éducation philosophique de ses contemporains.. C'est la plus grave de toutes les questions qui est ici abordée : celle de la mort.. Comment le sage peut-il l'envisager sans angoisse ni terreur ? Est-elle un mal absolu ? Peut-on la regarder en face sans désespérer ?. Héritier de la pensée grecque, Cicéron la développe dans une langue «plus riche, plus souple, plus harmonieuse».. «Une conviction irrésistible pousse Cicéron à affirmer, contre ses maîtres stoïciens, l'immortalité de l'âme. La vie est un mal. Mourir est «ce qui peut nous arriver de mieux». Un spasme de plus, et c'est le christianisme ! Les philosophes du Moyen Age ne s'y trompèrent pas.».