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Ce texte, paru en 1891 sous le titre Soul of the man under the socialism, a été réédité en 1905 sous le titre Soul of the man. Dans ce petit essai d'une grande force polémique, l'écrivain s'attaque aux tyrannies (l'Etat, l'argent et la machine) qui entravent l'homme. Il fonde son espérance sur un christianisme mêlé de socialisme et croit en la force de l'art pour le progrès de l'homme.
«Oscar Wilde maniait la langue comme le plus efficace des fouets, capable aussi bien de gifler que de caresser. Il pensait avoir giflé l'Angleterre. Mais le vieux lion cessa bientôt de s'amuser et le dévora dans un tribunal. On porta les restes de l'ancien prince dans une cellule de la prison de Reading où, pendant deux ans, ses derniers muscles furent rongés par la fatigue et les rats. Né en Irlande, il acheva de mourir en France. L'Angleterre n'eut que sa vie.. Oscar Wilde est aimé aujourd'hui, et il ne peut rien contre cet amour. On aime les artistes morts car ils sont sans défense». Martin Page. Ce brillant essai fut publié en 1891 sous le titre The Soul of Man under Socialism, mais réédité en 1905 sous le titre définitif The Soul of Man. D'une force polémique étonnante, il fourmille des habituels bons mots, formules lapidaires et autres paradoxes dont Oscar Wilde est le maître. Pour notre plus grand bonheur..