couverture

Île où les hommes implorent (L')

Chronique d'un désastre amorcé

Silberstein, Jil

  • Éditeur : Noir sur blanc
  • ISBN 9782882505446
  • Paru le 21 mars 2019
  • 45,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Soucieux de l'altération des conditions de vie sur la Terre, l'auteur explore les beautés de la planète à travers quatre saisons et quatre régions : le territoire traditionnel des Innus du Québec-Labrador, l'île du sud de la Nouvelle Zélande, l'île cycladique de Sifnos et la campagne vaudoise où il réside. Il mêle ses observations aux réflexions et aux souvenirs personnels.

Quatrième de couverture

Premier volet d'une lente remontée vers l'origine, La Terre est l'oreille de l'ours s'offrait comme une célébration du Vivant où notations en forêt, spéculations et remémorations se conjuguaient avec une mosaïque de lectures brassant sciences naturelles, environnement, éthologie, psychologie, poésie, spiritualité et anthropologie. Lui faisant suite, L'île où les hommes implorent s'attache, le temps de quatre saisons, à inventorier les éléments constitutifs d'une rapide dégradation des conditions de vie sur la planète Terre. D'où son sous-titre : « Chronique d'un désastre amorcé ».. Mû par une inquiétude que justifient, jour après jours, des faits irrécusables, l'auteur n'en ressent que plus fort l'urgence d'explorer la palette des prodiges recelés par le monde qui s'étiole - ce à travers quatre entités géographiques : le territoire traditionnel des Innus du Québec-Labrador, l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande, l'île cycladique de Sifnos et la campagne vaudoise, où l'ancien Parisien a choisi de s'établir.. De lieux en peuples aimés, Jil Silberstein dit la splendeur d'un rituel particulier aux Nuu-chah-nulth de l'île de Vancouver, les prouesses d'un Pholque phalangide, les enjeux du Pléistocène, l'exploration du Pacifique. Il s'initie à la dérive des continents, sonde les motifs d'un marbre antique du sanctuaire de Delphes, retrouve au coeur de la forêt subarctique le peuple innu dépossédé par le colonialisme, célèbre l'écrivaine américaine Annie Dillard, le Tao te king et son cher Joachim Du Bellay.. D'une telle démarche « tous azimuts » résulte l'irrésistible goût d'observer à son tour. Et de chérir ce qui peut l'être encore..