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Dans cet ouvrage qui tient à la fois du carnet de lectures, du journal d'écrivain et de l'inventaire, Louise Warren propose une autre forme de l'essai libre. Explorant la diversité de ses rapports aux livres, décrivant les mutations incessantes de sa bibliothèque, elle élabore une sorte d'autobiographie par les livres, un portrait de l'auteure en lectrice. Enfance, jeunesse, études, travail, famille, voyages, création et deuil se lient à des auteurs et à des titres. Dans une composition éclatée, faite de boucles et de cycles, l'essayiste relance l'art du fragment. Sous l'égide de Montaigne et de Borges, l'essai se construit comme un labyrinthe où l'écriture nous emporte, toujours variée, toujours imprévisible. Au lecteur, à la lectrice le plaisir d'aller de découverte en découverte, d'imaginer ses propres attachements. L'attachement au livre comme art de vivre.
Née à Montréal, Louise Warren vit et travaille dans Lanaudière. Poète et essayiste, elle a publié près d'une trentaine de titres, dont Une collection de lumières (Poèmes choisis 1984-2004) aux Éditions Typo. Elle poursuit une réflexion sur les arts et la création, notamment dans la trilogie Bleu de Delft. Archives de solitude, Objets du monde. Archives du vivant et La forme et le deuil. Archives du lac. Plusieurs de ses titres ont été publiés en format poche aux Éditions Typo dont Interroger l'intensité, réédité en 2009. Sa collaboration accrue avec des artistes a donné lieu à une dizaine de publications (microéditions, livres d'artiste, ouvrages de bibliophilie). Louise Warren a été invitée à de nombreux événements internationaux (Belgique, Colombie, France, Japon, Nouvelle-Zélande, Venezuela) pour des lectures et des conférences. Ses poèmes ont été traduits en plusieurs langues et elle a reçu plusieurs prix et mentions.
« Je suis souvent debout, face à ma bibliothèque, en quête d'une révélation ou d'une apparition. Comme devant un paysage, je médite en laissant mon regard parcourir les lignes horizontales des tablettes, verticales des livres. Rangées de voix, de spectateurs, balcons étagés : ma bibliothèque est un théâtre. » Dans cet ouvrage qui tient à la fois du carnet de lectures, du journal d'écrivain et de l'inventaire, Louise Warren propose une autre forme de l'essai libre. Explorant la diversité de ses rapports aux livres, décrivant les mutations incessantes de sa bibliothèque, elle élabore une sorte d'autobiographie par les livres, un portrait de l'auteure en lectrice. Enfance, jeunesse, études, travail, famille, voyages, création et deuil se lient à des auteurs et à des titres. Dans une composition éclatée, faite de boucles et de cycles, l'essayiste relance l'art du fragment. Sous l'égide de Montaigne et de Borges, l'essai se construit comme un labyrinthe où l'écriture nous emporte, toujours variée, toujours imprévisible. Au lecteur, à la lectrice le plaisir d'aller de découverte en découverte, d'imaginer ses propres attachements. L'attachement au livre comme art de vivre.