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Donner ma langue au chant réunit divers essais de Madeleine Gagnon comme autant de témoins de l'acuité de son regard. Il se dégage de l'ensemble une vision du monde puisant sa justesse et son originalité dans la sagacité des liens que l'auteure tisse entre poésie, littérature,art et enjeux sociaux. S'y déploie une écriture qui prend le risque d'offrir sa langue à l'impératif du chant ; une avancée intellectuelle à son plus haut niveau de pertinence, en ce qu'elle se fonde et s'ouvre sur une pratique de la vie et de la création.
MADELEINE GAGNON a publié une quarantaine de livres de poésie et de prose, dont les récents Les femmes et la guerre (VLB, 2000), Le chant de la terre, anthologie de poésie, avec une préface de Paul ChanelMalenfant (Typo, 2002); Je m'appelle Bosnia (VLB, 2005). En 2007, paraissait À l'ombre des mots/poèmes 1964-2006, à L'Hexagone. Au Noroît, elle a publié, en collaboration avec Lucie Laporte, Femmeros(1988). De nombreux prix littéraires ont salué son oeuvre.
Donner ma langue au chant réunit divers essais de Madeleine Gagnon comme autant de témoins de l'acuité de son regard. Il se dégage de l'ensemble une vision du monde puisant sa justesse et son originalité dans la sagacité des liens que l'auteure tisse entre poésie, littérature,art et enjeux sociaux. S'y déploie une écriture qui prend le risque d'offrir sa langue à l'impératif du chant ; une avancée intellectuelle à son plus haut niveau de pertinence, en ce qu'elle se fonde et s'ouvre sur une pratique de la vie et de la création.
