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Quenamican fait appel, à travers la dépossession matérielle et amoureuse, aux fondements de l’aventure, et marque le pouvoir de sublimation de la littérature et la jubilation que procure l’acte d’écrire. Avec ce grand hommage à Gérard de Nerval et à la femme aimée, Roger Magini célèbre à sa manière l’imaginaire du voyage… et nous transporte, entre rêve et réalité, de Paris à Mexico, via les Corbières, non-stop.Prix des écrivains francophones d'Amérique
Roger Magini est né en 1945 à Monaco. Il vit au Québec depuis 1967 où il a œuvré dans le monde de l’édition pendant trente ans. Fasciné par la culture des anciens Mexicains, il a séjourné plusieurs fois dans ce pays. Depuis quelques années, il se consacre entièrement à l’écriture.Son premier roman, Entre corneilles et Indiens, est paru en 1972 aux Éditions du Jour. En 1996, il était finaliste au Prix du Gouverneur général pour son roman Un homme défait et, à nouveau en 2000, pour Styx, qui lui a aussi valu d’être finaliste au Grand Prix du livre de la ville de Montréal. Styx a été traduit en espagnol et est paru chez l’éditeur argentin Alción Editora en 2003. Ce même ouvrage paraîtra en France chez UBU Éditions en avril 2006.En novembre 2005, Roger Magini recevait le Prix de la Société des écrivains francophones d’Amérique pour son roman Quenamican.
Nuit du jeudi 25 au vendredi 26 janvier 1855 : Gérard de Nerval est trouvé pendu, rue de la Vieille-Lanterne, à Paris. Afin de commémorer le 150e anniversaire de cette triste nuit où le fou sublime s’en est allé pour un ultime voyage qu’il ne relatera jamais, Roger Magini a décidé de lui rendre hommage en écrivant Quenamican, un roman-voyage bien particulier que seule la littérature peut entreprendre et qui ne saurait exister que dans et par le texte, soulignant ainsi le lien indivisible qui unit la vie et l’écriture. Roger Magini, qui a « l’audace des grands rêveurs éveillés », crée littéralement un monde hors du temps dans lequel, oui, le rêve et la vie se confondent, nous entraînant, au-delà des lieux réels, sur les chemins du quenamican, cette contrée mythique « où l’on vit selon ses désirs ».