* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Avec une précision d’horloger, Jérôme Élie construit des situations qui révèlent le peu de stabilité du monde dit réel. Tout nous semble familier ou normal, puis soudain, comme si les personnages avaient une défaillance, le décor se fissure, l’histoire prend une allure déroutante…
Les romans de Jérôme Élie nous entraînent dans un univers à la fois fabuleux et fantastique, un monde des limites où tout n'est que vertige et illusion, au-delà de l'apparente vérité.Dès son premier livre, paru en 1994 sous le titre audacieux de Dieu en personne, la critique n'a pas manqué de saluer le grand talent de Jérôme Élie :« œuvre originale, fascinante », écrivait Réginald Martel dans La Presse. Jacques Allard ajoutait dans Le Devoir : « Jérôme Élie impressionne par la hauteur de son ambition. »En 1996, lors de la parution de La Morte du pont de Varole, Réginald Martel déclarait : « Jérôme Élie nous monte un bateau dont la figure de proue a l'inquiétante beauté du diable. »« L'Homme qui pesait plus lourd nu qu'habillé, [paru en 1999] serait donc également un roman carnavalesque, une farce au second degré où surgit de loin en loin une critique acerbe du monde contemporain, où sont moqués la publicité et ces personnages publics, si friands des micros et des caméras. [...] C'est une superbe interrogation de notre rapport à la connaissance, à la réalité », écrivait Robert Chartrand dans Le Devoir.