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Dans ce recueil, Isabelle Courteau s’applique à retracer les instants de lumière qui marquent chacun des jours. Sa poésie évoque ces moments éblouissants de l’existence qui ouvrent une fenêtre sur l’essentiel. Refus du « monde nauséeux » de l’opulence artificielle. Émerveillement devant la liberté toute simple des feuilles, du vent, de la terre qui s’éveille, comme source de retrouvailles avec soi. Quête de sérénité, d’un « mot pour se tirer de l’absence », pour « contenir l’insondable ».
Cofondatrice, en 2000, de la Maison de la poésie, Isabelle Courteau a été, jusqu’en 2021, directrice générale et artistique de l’organisme ainsi que de sa principale manifestation, le Festival de la poésie de Montréal (FPM). Comme directrice artistique du FPM, elle a créé de multiples activités et événements innovants, en produisant, entre autres, une série de balados poétiques réunissant des poètes du Québec, de France et d’Allemagne. Son travail et son implication dans le monde littéraire ont été récompensés par les prix Henri-Tranquille (2015) et Lèvres urbaines (2019).
Comme poète, Isabelle Courteau a publié L’Inaliénable, avec une préface de Jacques Brault (1998), Mouvances (2001) et Ton silence (2004) aux Éditions de l’Hexagone, et À la lisière du monde (2017) aux Écrits des Forges. Elle a reçu une mention d’excellence, catégorie poésie, de la Société des écrivains canadiens pour L’Inaliénable..