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Un sujet choc : les graffitis. Un récit enlevant, une aventure palpitante au cœur de la ville qui plaira aux adolescents.• Un premier roman destiné aux adolescents.• Un récit enlevant, une aventure palpitante au cœur de la ville qui plaira aux adolescents.• Un sujet choc : les graffitis.Fred, 18 ans, nom de code : WEXER. Simon, 16 ans, nom de code : ATAK 21. Guillaume, 17 ans, nom de code : BURK. Trois gars animés par une même passion : les graffitis. Par une nuit chaude d’été, ils partent en commando, armés de douzaines de canettes de couleurs. Leur cible : l’immense panneau publicitaire gris qui se dresse là-bas au milieu d’un terrain vague. Mais leur mission n’est pas sans danger : le terrain accidenté, les policiers qui guettent. Et ce personnage inquiétant qui est là à rôder, qui est-il ? Leur expédition tournera vite au cauchemar. Guillaume, Simon et Fred vivront une nuit marquante, une nuit rouge... sang.
D'abord reconnu pour ses talents d’illustrateur, Gilles Tibo s'est découvert, il y a plusieurs années maintenant, une passion dévorante pour l'écriture. La qualité de ses romans, qu'ils soient destinés à la jeunesse ou aux adultes, ne cesse d'ailleurs d'être remarquée. Récipiendaire du prix du Gouverneur général, Tibo a récemment eu la chance de voir l'un de ses plus célèbres personnages porté au grand écran, avec la parution du film Noémie, le secret. Cet automne, il nous revient avec Les Grandes Paniques, le vingtième titre de la série Noémie ! Dans ce tome double au rythme endiablé, Noémie devra faire face aux deux plus gros problèmes de l’humanité. Saura-t-elle garder son calme pour les régler ? Parions que non... et cela pour le plus grand plaisir des lecteurs !
Extrait :En courant sur la passerelle, qui tremble dangereusement à chacun de leurs pas, Simon et Guillaume se séparent et s’en vont chacun à une extrémité du panneau. Là, ils sortent leurs canettes de leurs poches, lèvent les bras et, d’un geste sûr, commencent à dessiner le contour d’immenses lettres qui s’imbriquent les unes dans les autres, se faufilent en se croisant, en se décroisant, en passant l’une sous l’autre comme si elles dansaient ensemble.Fébriles, silencieux, les deux gars accomplissent leur œuvre. Ils s’arrêtent parfois, brassent leurs canettes puis continuent à dessiner avec une extrême précision. Dans le silence de la nuit, on n’entend plus que le sifflement des bonbonnes qui se vident lentement à chaque jet de couleur.