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Pour les femmes et pour toutes les communautés marginalisées, le rapport au système pénal se résume trop souvent à la question des inégalités sociales devant le droit. L’abolitionnisme pénal, mouvement amorcé dans les années 1970, appelle une réappropriation de la justice. Comme féministes, il est urgent de repenser l’emprise des tribunaux, de la police et de la prison sur la gestion des conflits. L’Agenda 2024 donne la parole à des personnes qui tentent de réaliser le projet abolitionnisme par la justice transformatrice, la justice transformatrice, la décriminalisation du travail du sexe, le définancement de la police, le soutien aux migrant·es et aux femmes incarcérées.
Diplômée en études féministes et littéraires, ainsi qu’en confection sur mesure et en édition, Stéphanie Barahona a travaillé une dizaine d’années en cinéma avant de devenir libraire-gestionnaire à la librairie féministe L’Euguélionne. Elle a co-fondé la maison d’édition jeunesse Dent-de-lion et travaille présentement aux éditions du remue-ménage.
Pour les femmes et pour toutes les communautés marginalisées, le rapport au système pénal se résume trop souvent à la question des inégalités sociales devant le droit. L’abolitionnisme pénal, mouvement amorcé dans les années 1970, appelle une réappropriation de la justice. Comme féministes, il est urgent de repenser l’emprise des tribunaux, de la police et de la prison sur la gestion des conflits. L’Agenda 2024 donne la parole à des personnes qui tentent de réaliser le projet abolitionnisme par la justice transformatrice, la justice transformatrice, la décriminalisation du travail du sexe, le définancement de la police , le soutien aux migrant·es, aux femmes incarcérées et aux proches de détenu·es. Tandis que certains groupes et militantes travaillent à la «réduction des méfaits systémiques» en favorisant l’autonomisation des personnes autochtones criminalisées d’autres en appelant à la dignité pour les femmes détenues et les proches de détenu·es. .