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*** Rétrocession de droits 19 oct. 2020**Les amis – parfois devenus ennemis – de L’appartement du clown sont de retour… et l’hiver est dur ! On est trois ans plus tard, en 2005. Vic se prépare à ouvrir son espace pluridisciplinaire, Le Moderne Cabaret, et à emménager avec la jolie Fred. Mais soudain tout déraille : son père est sur le point de mourir, la famiglia veut «protéger » son cabaret et Fred révèle un côté sombre et inquiétant d’elle-même. Oliver, de son côté, est de retour au Québec, à l’insu de Vic, après un long séjour au Chili. Il raconte à Jas comment sa soif de vengeance l’a entraîné dans le pays d’origine de Douze, l’ami dont la trahison lui avait valu d’être défiguré par des motards. Comment il s’est senti tiraillé entre Thanatos et Éros, entre son désir de faire souffrir Douze et celui de se laisser séduire par Jemaine. Le Moderne Cabaret met au jour la partie noire de l’être humain et pose la question de notre capacité à faire face à l’innommable. Il peut se lire indépendamment de L’appartement du clown. Elle avait raison de penser que son histoire de trahison avec Ben allait me donner envie de sortir de sa vie. Tout ça est en contradiction complète avec la Fred que je connais. La nouvelle Fred me rappelle Oliver : les deux sont capables du pire. En fait, mon ami Jas aussi est comme ça par moments. Moi, j’ai peur. Peur de M. Sourire. Peur de perdre mon cabaret. Peur que mon père ne se réveille jamais et de me retrouver tout seul. Peur de ma blonde. J’ai peur pour ma blonde aussi. Malgré tout. Mais est-elle encore ma blonde?
Vic Verdier est un pseudonyme que l’auteur,Simon-Pierre Pouliot, a emprunté à songrand-père qui aurait souhaité être publié,lui aussi. Simon-Pierre Pouliot est un garsexpansif et opiniâtre de la Vieille Capitalequi a fait le saut périlleux vers la Métropole.(Sacrilège!) Diplômé de l’Université Laval,en histoire, et de l’Université McGill, encommunication, il travaille depuis près dedix ans pour le Cirque du Soleil. Il a trouvéen Vic Verdier un alter ego assez solide pourle suivre dans l’écriture de chroniques montréalaises biscornues.Comme lui, il a été le colocataire d’un clown.