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Voici l'itinéraire d'un adolescent canadien-français en butte à sa famille, à son milieu et à sa société. Roman pour adolescents, nous prévient l'auteur. C'est surtout le roman de l'adolescence. [...] André Major n'embellit pas l'adolescence et n'exagère pas la valeur de ses colères. Il l'assume et parvient ainsi à la dépasser. Bulletin du Cercle juif
Né en 1942, André Major entreprend dès 1961 une double carrière d'écrivain et de chroniqueur littéraire au Petit Journal d'abord, puis à La Presse et au Devoir. En 1963, il participe à la fondation de la revue Parti pris à laquelle il collabore jusqu'au début de 1965. Avec Le cabochon en 1964, il s'engage dans une oeuvre romanesque dont les thèmes s'approfondissent dans sa trilogie intitulée Histoires de déserteurs. En 1976, il se mérite le prix du Gouverneur général et, l'année suivante, il contribue avec d'autres à mettre sur pied l'Union des écrivains québécois. De 1973 à 1998, il tavaille comme réalisateur au service des émissions culturelles du réseau FM de Radio-Canada, où il produit des émissions dramatiques, des documents et des magazines littéraires. Entre-temps il se consacre à la nouvelle (La folle d'Elvis et L'hiver au coeur), genre auquel il s'est adonné très tôt et qu'il aide à imposer dans un milieu littéraire dont le roman et la poésie sont les pôles d'attraction.Après avoir été lauréat du prix Canada/Communauté française de Belgique en 1991 et du prestigieux prix Athanase-david en 1992, il publie un roman, La vie provisoire, en 1996. Puis, en 2001, Le sourire d'Anton ou l'adieu au roman, le premier volume de ses carnets que couronne le prix de la revue Études françaises. Il travailles à la suite de ses carnets.