couverture

Usage de mes jours (L')

Noël, Francine

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Résumé

Dans L’usage de mes jours, Francine Noël explore la figure d’un absent, son père… Comment est-il entré puis sorti de sa vie, comment a-t-il marqué de son absence la construction qu’elle s’est faite du monde, de la famille, de l’amour, de la communauté des vivants ?À travers le parcours de son enfance, puis celui de sa vie adulte comme femme, amoureuse, professeure, mère, elle réveille ces parts d’ombre maintenant traversées par les révélations et l’intelligence de l’âge. Fine oreille, fine observatrice, fine critique de la société québécoise, de ses aspirations et de ses frilosités, Francine Noël donne à lire une chronique féminine joyeuse et grave, d’une exemplaire lucidité.

Biographie de l'auteur.e

Avec deux romans fétiches dans les années 1980, Maryse (1983) et Myriam première (1987), Francine Noël a fait une entrée fracassante sur la scène romanesque. Mêlant humour et critique sociale, ces romans sont la chronique foisonnante des années soixante-dix et quatre-vingt dans un Montréal babélique en constante mutation. Par la suite, elle a publié Babel, prise deux. Nous avons tous découvertl’Amérique (1992) ainsi que La conjuration des bâtards (1999) dans lequel elle renouait, au seuil du nouveau millénaire, avec les grands personnages de sa tribu montréalaise, Maryse, Laurent, Myriam, Lilith, Gabriel, Tristan, dont certains reviendront dans J’ai l’angoisse légère publié en 2008 et Adagio, finale de la saga. Son récit La femme de ma vie a gagné le Combat des livres de Radio-Canada.

Quatrième de couverture

Dans L’usage de mes jours, Francine Noël explore la figure d’un absent, son père… Comment est-il entré puis sorti de sa vie, comment a-t-il marqué de son absence la construction qu’elle s’est faite du monde, de la famille, de l’amour, de la communauté des vivants ?. À travers le parcours de son enfance, puis celui de sa vie adulte comme femme, amoureuse, professeure, mère, elle réveille ces parts d’ombre maintenant traversées par les révélations et l’intelligence de l’âge. Fine oreille, fine observatrice, fine critique de la société québécoise, de ses aspirations et de ses frilosités, Francine Noël donne à lire une chronique féminine joyeuse et grave, d’une exemplaire lucidité..