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« Stéphane Crête appartient à cette catégorie d’artistes pour qui la création relève d’une expérience transformatrice en ce qu’il choisit de s’y livrer en toute liberté, ce qu’il doit sans doute, en bonne partie, à ces années d’apprentissage passées à faire de l’improvisation (LNI). Esteban illustre cet engagement qui implique, de la part de l’artiste, une mise à l’épreuve constante des potentialités imaginaires de son être. Seul en scène, Crête y incarne un personnage (mais est-ce le bon terme ?) qui, en l’espace d’un peu plus d’une heure, adopte ainsi une diversité de figures, de discours, de corps par lesquels se manifestent toutes les outrances d’une personnalité limite, c’est-à-dire une identité qui aurait momentanément perdu, comme s’il s’agissait d’un rituel d’autoengendrement, le sens de la mesure ; identité qui ne se maîtriserait plus et prendrait un malin plaisir à exhiber, à théâtraliser surtout, ses excentricités et dérèglements. »Yves Jubinville extrait de la postface « Stéphane Crête, le pervers polymorphe »
« Stéphane Crête appartient à cette catégorie d’artistes pour qui la création relève d’une expérience transformatrice en ce qu’il choisit de s’y livrer en toute liberté, ce qu’il doit sans doute, en bonne partie, à ces années d’apprentissage passées à faire de l’improvisation (LNI). Esteban illustre cet engagement qui implique, de la part de l’artiste, une mise à l’épreuve constante des potentialités imaginaires de son être. Seul en scène, Crête y incarne un personnage (mais est-ce le bon terme ?) qui, en l’espace d’un peu plus d’une heure, adopte ainsi une diversité de figures, de discours, de corps par lesquels se manifestent toutes les outrances d’une personnalité limite, c’est-à-dire une identité qui aurait momentanément perdu, comme s’il s’agissait d’un rituel d’autoengendrement, le sens de la mesure ; identité qui ne se maîtriserait plus et prendrait un malin plaisir à exhiber, à théâtraliser surtout, ses excentricités et dérèglements. »Yves Jubinville extrait de la postface « Stéphane Crête, le pervers polymorphe »