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À propos de MÉLANCOLIE:«Mélancolie est un des plus forts textes de la nouvelle poésie québécoise. Cette «mélancolie de fin du monde» et de fin de soi qu’il faut écrire pour l’oublier, Michael Delisle nous en donne le sentiment exact. Mieux que tous les poètes de sa génération réunis, Delisle réussit à investir la forme du journal jusqu’à la poésie.» - Jean Royer, Le DevoirÀ propos de CHOSE VOCALE :«Les émotions éclatent à chaque page au milieu de ces phrases saccadées et courtes.Delisle trouve une sorte d’équilibre entre la tragédie de vivre et le bonheur d’être, bonheur qui semble trouver son apogée dans le travail d’écriture. Il y a des passages splendides qui rendent à merveille cette tension: Alors, je pense que les mots sont des bulles. / Je pense que ces bulles sont molles. / Que souvent, elles forment des globes. / Que souvent, au-dessus de petits lions enjoués, / Elles frissonnent devant la mort.» - Gilles Toupin, La Presse
Michael Delisle est né à Longueuil en 1959. Cofondateur de la revue Lèvres urbaines, il a collaboré à plusieurs revues québécoises et européennes. Il a gagné, en 1987, le prix Émile-Nelligan pour Fontainebleau. Poète, romancier, nouvelliste, il enseigne depuis 1992 au Cégep du Vieux Montréal.
Aujourd’hui, Michael Delisle (Le feu de mon père, Le palais de la fatigue, au Boréal;_x000D_Dée, chez Leméac) est connu pour ses romans et nouvelles proches de_x000D_l’autofiction, qui parlent d’écriture, de banlieue, de relations familiales et_x000D_amoureuses. Or il a commencé sa carrière d’écrivain comme poète dans les_x000D_années 1980. Mélancolie et Chose vocale sont les textes les plus importants et_x000D_les plus pertinents de ce début de carrière.