couverture

À cause du soleil / Le traitement de la nuit

Deux pièces

La Chenelière, Évelyne De

  • Éditeur : Les Herbes Rouges
  • Collection : Scène_s
  • 184 pages
  • ISBN 9782894197998
  • Paru le 25 octobre 2021
  • 21,95 $ *
  • Théâtre

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Sous le soleil cinglant d’une plage d’Algérie, dans un célèbre roman d’Albert Camus, Meursault tue un Arabe sans nom. Cette histoire s’entrelace, dans À cause du soleil, à celle de Medi qui se condamne lui-même pour avoir ignoré un appel à l’aide en pleine tempête de neige. Le traitement de la nuit est une scène incertaine que répètent et modulent les membres d’une famille prisonnière de son immense domaine. Le quatuor se reconfigure au gré de l’obscurité, qui révèle des mouvements inattendus. En parlant, en dépliant leurs récits, les personnages cherchent obstinément à retrouver le goût de l’innocence. La parole a-t-elle le pouvoir de façonner le réel ?

Biographie de l'auteur.e

Née à Montréal en 1975, Evelyne de la Chenelière est écrivaine et comédienne. La finesse de son œuvre prolifique fait d’elle l’une des figures les plus significatives de la dramaturgie québécoise.

Quatrième de couverture

Sous le soleil cinglant d’une plage d’Algérie, dans un célèbre roman d’Albert Camus, Meursault tue un Arabe sans nom. Cette histoire s’entrelace, dans À cause du soleil, à celle de Medi qui se condamne lui-même pour avoir ignoré un appel à l’aide en pleine tempête de neige. Le traitement de la nuit est une scène incertaine que répètent et modulent les membres d’une famille prisonnière de son immense domaine. Le quatuor se reconfigure au gré de l’obscurité, qui révèle des mouvements inattendus. En parlant, en dépliant leurs récits, les personnages cherchent obstinément à retrouver le goût de l’innocence. La parole a-t-elle le pouvoir de façonner le réel ? Jouant adroitement de la violence et de l’humour, Evelyne de la Chenelière interroge le cœur même de notre rapport au monde. Comme le jour et la nuit s’engendrent en un cycle ininterrompu, dans ce diptyque, culpabilité et félicité se disputent la faveur d’une aveuglante clarté.