* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Ce Carnet de Québec propose une promenade en images et en mots au coeur de la ville. À l'incontournable Vieux-Québec s'ajoutent les quartiers Saint-Roch, Saint-Sauveur et Saint-Jean-Baptiste.L'artiste multiplie les points de vue : plongées et contre-plongées, plans éloignés et plans rapprochés. Il s'efforce d'épouser les mouvements et le regard du promeneur curieux qui lève la tête afin d'admirer un linteau sculpté ou une corniche, se rapproche pour contempler les détails d'un mascaron sur une porte, recule pour observer à loisir un groupe de maisons. Jacques Martineau dévoile ainsi à notre regard étonné les ensembles aussi bien que les détails, souvent négligés mais ô combien pittoresques et charmants.«Le citadin dans sa ville, comme le poisson dans l'eau, est trop occupé à vivre et à se déplacer dedans pour s'en émerveiller.Pour y arriver, il faut qu'il en sorte au moins mentalement pour essayer de la voir comme un espace sauvage, une terra incognita, un espace vierge à explorer et à cartographier. En somme, il doit entrer dans la peau de l'étranger. Autre condition : devenir piéton. Comme le dit encore Huxley, pour vraiment voir les choses, il faut se servir de ses jambes aussi bien que de ses yeux.»Extrait de l'introductionAprès une carrière dans l'enseignement, Jacques Martineau se consacre maintenant au dessin et à l'écriture. Il a déjà collaboré au magazine Nuit blanche et a publié Les 100 romans québécois qu'il faut lire (Nota bene, 1994). Certains de ses textes ont parus dans la revue Nouaison (1998-2001) et, en 2008, il a participé à un ouvrage collectif en hommage à Robert Melançon (Le Noroît).
Après une carrière dans l'enseignement, Jacques Martineau se consacre maintenant au dessin et à l'écriture. Il a déjà collaboré au magazine Nuit blanche et a publié Les 100 romans québécois qu'il faut lire (Nota bene, 1994). Certains de ses textes ont par