* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
«Le salut de l'Irlande a paru pour la première fois en 1966-1967 sous la forme d'un feuilleton dans L'information médicale et paramédicale ; il a été réécrit à la hâte, en moins d'une semaine, suite aux événements d'Octobre 1970, qu'il avait en quelque sorte prévus, et fut lancé à Montréal à 17 heures, le 8 décembre 1970. (...) Du fait de la rédaction antérieure, Le salut de l'Irlande évoque autre chose que la crise constitutionnelle d'Octobre; il peut et doit se lire indépendamment de ces événements-là. Le roman se situe dans l'oeuvre de Ferron, à la suite naturelle de La nuit, grâce au passage de Connie dans les dernières pages de ce roman-là, le même Connie Haffigan qui sera un personnage central du Salut de l'Irlande. L'intrigue raconte les déboires du père de Connie, CDA Haffigan, réputé d'origine irlandaise, habitant de Saint-Lambert, agent politique sous Duplessis et trafiquant de bagosse à ses heures. Ce personnage énigmatique découvre une forme d'identité profonde en une certaine idée de l'Irlande. Plus tard, lorsque trois de ses fils deviennent membres des forces de sécurité canadienne et québécoise, CDA Haffigan répare le déshonneur ainsi représenté à ses yeux en initiant son quatrième fils, Connie, à la cause effelquoise. Le roman associe l'Irlande, plus précisément une version bien québécoise de l'Irlande, à ce que le Québec n'est pas encore devenu.» Extrait de la préface du professeur Pádraig Ó Gormaile, collège universitaire Galway (Irlande).
Médecin, écrivain et homme politique, Jacques Ferron est une véritablelégende de la littérature québécoise. Son style remarquableest au service d'une écriture socialement et culturellement engagée.
«Le salut de l'Irlande a paru pour la première fois en 1966-1967 sous la forme d'un feuilleton dans L'information médicale et paramédicale ; il a été réécrit à la hâte, en moins d'une semaine, suite aux événements d'Octobre 1970, qu'il avait en quelque sorte prévus, et fut lancé à Montréal à 17 heures, le 8 décembre 1970. (...) Du fait de la rédaction antérieure, Le salut de l'Irlande évoque autre chose que la crise constitutionnelle d'Octobre; il peut et doit se lire indépendamment de ces événements-là. Le roman se situe dans l'oeuvre de Ferron, à la suite naturelle de La nuit, grâce au passage de Connie dans les dernières pages de ce roman-là, le même Connie Haffigan qui sera un personnage central du Salut de l'Irlande. L'intrigue raconte les déboires du père de Connie, CDA Haffigan, réputé d'origine irlandaise, habitant de Saint-Lambert, agent politique sous Duplessis et trafiquant de bagosse à ses heures. Ce personnage énigmatique découvre une forme d'identité profonde en une certaine idée de l'Irlande. Plus tard, lorsque trois de ses fils deviennent membres des forces de sécurité canadienne et québécoise, CDA Haffigan répare le déshonneur ainsi représenté à ses yeux en initiant son quatrième fils, Connie, à la cause effelquoise. Le roman associe l'Irlande, plus précisément une version bien québécoise de l'Irlande, à ce que le Québec n'est pas encore devenu.» Extrait de la préface du professeur Pádraig Ó Gormaile, collège universitaire Galway (Irlande).