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À partir d’un corpus de textes parus entre les années 60-90, Simone Grossman montre que le regard est un vecteur de la littérature fantastique québécoise, photographie et peinture devenant des mediums du fantastique. L’insertion de la peinture dans ces récits équivaut à une réflexion sur la création, à travers les avatars du visuel.
Simone Grossman enseigne les littératures française et québécoise à l’université israélienne Bar Ilan. Spécialiste des relations entre la peinture et la littérature dans le surréalisme et le fantastique, elle a publié des essais sur Julien Gracq et André Pieyre de Mandiargues.