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Il est rare qu’un livre nous éblouisse au point d’être aveuglé par la lumière, blanche ou noire, qui en jaillit, dans une émotion telle qu’on se trouve au-delà du tragique, là où se combattent durement les forces de la vie et de la mort. Je n’ai pas peur de mes mots : Quatre saisons en enfer est un chef-d’œuvre. Et lorsqu’on est devant un chef-d’œuvre, c’est la beauté dans toute sa nudité qu’on rencontre. Devant la beauté toute nue, la parole de l’autre est toujours de trop : la beauté toute nue exige seulement de soi la pureté des profondes contemplations.Victor-Lévy Beaulieu
Il est rare qu’un livre nous éblouisse au point d’être aveuglé par la lumière, blanche ou noire, qui en jaillit, dans une émotion telle qu’on se trouve au-delà du tragique, là où se combattent durement les forces de la vie et de la mort. Je n’ai pas peur de mes mots : Quatre saisons en enfer est un chef-d’œuvre. Et lorsqu’on est devant un chef-d’œuvre, c’est la beauté dans toute sa nudité qu’on rencontre. Devant la beauté toute nue, la parole de l’autre est toujours de trop : la beauté toute nue exige seulement de soi la pureté des profondes contemplations.Victor-Lévy Beaulieu