couverture

Liberté et propriété

Une histoire sociale de la pensée politique occidentale de la Renaissance aux Lumières

Wood, Ellen Meiksins

  • Éditeur : Lux
  • Collection : Humanités
  • 628 pages
  • ISBN 9782895961864
  • Paru le 9 septembre 2014
  • 39,95 $ *
  • Sciences sociales

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Résumé

« La meilleure façon de mettre en lumière les limites des doctrines dominantes, c’est de connaître la tradition canonique et le contexte historique qui les ont vu naître. » Suivant ce précepte, Liberté et propriété retrace l’histoire sociale de la pensée politique de la modernité. Sondant les grands moments politiques de cette période (la cité-État de la Renaissance, la Réforme, les empires espagnols et néerlandais, l’absolutisme français et la Révolution anglaise), Ellen Meiksins Wood pense ensemble la naissance de l’État moderne et la formation du capitalisme.Cet ouvrage fait suite à Des citoyens aux seigneurs, qui couvrait la ­période allant de l’Antiquité à la fin du Moyen Âge. La grande thèse qui sous-tend cette imposante recherche peut être résumée ainsi : la pensée politique est intrinsèquement liée à l’évolution historique de la relation conflictuelle entre État et propriété privée, et c’est dans cette tension que les sociétés modernes ont accouché d’idées riches et équivoques encore vivantes de nos jours : les droits de la personne, la liberté, l’égalité et la propriété

Biographie de l'auteur.e

Ellen Meiksins Wood a enseigné la science politique à l’Université York à Toronto. Elle est reconnue pour sa contribution aux études sur les origines agraires du capitalisme. Elle est l’auteure de nombreux ouvrages, dont The Retreat from Class (Verso), qui a reçu le Deutscher Prize, L’origine du capitalisme et L’empire du capital (Lux).

Quatrième de couverture

« La meilleure façon de mettre en lumière les limites des doctrines dominantes, c’est de connaître la tradition canonique et le contexte historique qui les ont vu naître. » Suivant ce précepte, Liberté et propriété retrace l’histoire sociale de la pensée politique de la modernité. Sondant les grands moments politiques de cette période (la cité-État de la Renaissance, la Réforme, les empires espagnols et néerlandais, l’absolutisme français et la Révolution anglaise), Ellen Meiksins Wood pense ensemble la naissance de l’État moderne et la formation du capitalisme.Cet ouvrage fait suite à Des citoyens aux seigneurs, qui couvrait la période allant de l’Antiquité à la fin du Moyen Âge. La grande thèse qui sous-tend cette imposante recherche peut être résumée ainsi : la pensée politique est intrinsèquement liée à l’évolution historique de la relation conflictuelle entre État et propriété privée, et c’est dans cette tension que les sociétés modernes ont accouché d’idées riches et équivoques encore vivantes de nos jours : les droits de la personne, la liberté, l’égalité et la propriété.