couverture

Voie des roses (La)

Les Pierres et les roses, tome 2

Vonarburg, Élisabeth

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Sauvé contre son gré et à l’insu de tous d’une mort certaine grâce à l’intervention de Rébecca, Briann d’Angresay est de nouveau contraint à l’exil. Comme promis, le fidèle Guillem, désormais beaucoup plus qu’un serviteur, l’a rejoint et c’est ensemble qu’ils s’engagent sur la Voie des roses – le pèlerinage vers Sainte-Marie-en-Galice auquel tant les Christiens que les Géminites s’adonnent – comme auxiliaires dans une compagnie qui protège les voyageurs des brigands à l’affût. Or, si Briann est parvenu à préserver son anonymat, ses talents guerriers ne sont pas demeurés inaperçus et il a été rapidement promu capitaine.Rébecca a dû quitter Angresay elle aussi. Avec Isaac, son père, elle s’est installée à Tolosà où domina Aubrard, ayant remarqué ses talents d’apothicaire, facilite son admission au Magistère de Montpellier pour qu’elle y apprenne le métier de paramètje, un niveau d’étude inatteignable pour une femme en Christienté.Mais alors qu’une guerre civile se prépare en Tolosà, une menace plus grande encore plane sur l’Europe. De fait, le nouveau roi anglais et les Christiens songeraient à lancer une nouvelle Croisade, cette fois contre les Géminites, car la rumeur affirme qu’ils posséderaient une arme… invulnérable à la magie !La Voie des roses : le deuxième volume d’une trilogie appelée à devenir une œuvre charnière de la fantasy historique..

Biographie de l'auteur.e

Élisabeth Vonarburg est une des figures les plus marquantes de la science-fiction québécoise. Elle est reconnue tant dans la francophonie que dans l'ensemble du monde anglo-saxon et la parution de ses ouvrages est toujours considérée comme un événement. Outre l’écriture de fiction, Élisabeth Vonarburg pra­ti­que la traduction (la Tapisserie de Fionavar, de Guy Gavriel Kay), s’adonne à la critique (no­tam­ment dans la revue Solaris) et à la théorie (Comment écrire des histoires). Depuis 1973, Élisabeth Vonarburg a fait de la ville de Chicoutimi son port d’attache.