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« On tue… On tue… Tous… On tue les vaches… les rhinocéros… On tue… On tue… On tue les papillons… Les grenouilles… On tue… On tue les requins… On tue… On tue le bleu… On tue… »Cette ritournelle est répétée par un des rares survivants de ce qu’il faut bien appeler un massacre dans une résidence pour personnes âgées. Car comment décrire autrement l’état dans lequel les victimes ont été retrouvées ? Rachitiques, sous-alimentées, le corps couvert de blessures mal soignées, vivant dans des conditions d’hygiène épouvantables…Or, pour l’inspecteur Henri Dufaux, qui est chargé de l’enquête, tout va mal. Son équipe se dépeuple, un « zélé » des Affaires internes se met sur son cas et c’est sur fond de chantage politique et d’interventions du SCRS qu’il devra résoudre cette série de meurtres horribles que certains qualifient de « petites cruautés éparpillées » et de « crimes pédagogiques ».Parmi les suspects : le crime organisé, un tueur en série… sans oublier un groupe de sauveurs autoproclamés de la planète, les Ultravéganes. Et comme si ce n’était pas assez, Dufaux comprend petit à petit que l’auteur de toutes ces atrocités entretient une vendetta personnelle contre lui !
Jean-Jacques Pelletier a enseigné la philosophie pendant plusieurs années au cégep Lévis-Lauzon. Il siège toujours sur de nombreux comités de retraite et de placement.Écrivain aux horizons multiples, le thriller est pour lui un moyen d’intégrer de façon créative l’étonnante diversité de ses centres d’intérêt : mondialisation des mafias et de l’économie, histoire de l’art, gestion financière, zen, guerres informatiques, techniques de manipulation des individus, chamanisme, évolution des médias, progrès scientifiques, troubles de la personnalité, stratégies géopolitiques…Depuis L’Homme trafiqué jusqu’à La Faim de la Terre, dernier volet des « Gestionnaires de l’apocalypse », et des Visages de l’humanité jusqu’à On tue…, c’est un véritable univers qui se met en place. Dans l’ensemble de ses romans, sous le couvert d’intrigues complexes et troublantes, on retrouve un même regard ironique, une même interrogation sur les enjeux fondamentaux qui agitent notre société.