* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Certes, la découverte – au beau milieu de la vitrine d’une galerie d’arts de Montréal – d’un cadavre reposant dans une baignoire remplie de sang a fait sourciller l’inspecteur Dufaux. Mais ce qui l’a ébranlé, c’est la quantité de sang, car cela indique qu’au moins cinq ou six personnes ont été « saignées » pour obtenir un tel résultat. Il devra donc, avec son équipe de jeunes policiers marginaux, rechercher, outre l’identité du cadavre, qui sont les « donateurs » qui ont participé à cette mise en scène macabre. Hélas, les policiers n’ont, comme indices, que les signatures ADN trouvées dans la baignoire… et le répertoire des personnes récemment disparues de Montréal.Dufaux, qui doit en plus se défendre contre les attaques perfides des Affaires internes qui menacent de démanteler son équipe – paraîtrait qu’elle abrite une « taupe » ! –, devient donc très méfiant quand Lydia Balco, la directrice adjointe du SCRS, lui offre soudainement son aide.Or, devant l’étrangeté de son enquête et face à un tel appui providentiel, Dufaux ne peut arriver qu’à une seule conclusion : un terrible danger rôde, il est même en approche rapide ! Heureusement, sa femme, morte depuis près de trois ans, est là pour le conseiller !
Jean-Jacques Pelletier a enseigné la philosophie pendant plusieurs années au cégep Lévis-Lauzon. Il siège toujours sur de nombreux comités de retraite et de placement.Écrivain aux horizons multiples, le thriller est pour lui un moyen d’intégrer de façon créative l’étonnante diversité de ses centres d’intérêt : mondialisation des mafias et de l’économie, histoire de l’art, gestion financière, zen, guerres informatiques, techniques de manipulation des individus, chamanisme, évolution des médias, progrès scientifiques, troubles de la personnalité, stratégies géopolitiques…Depuis L’Homme trafiqué jusqu’à La Faim de la Terre, dernier volet des « Gestionnaires de l’apocalypse », et des Visages de l’humanité jusqu’à On tue…, c’est un véritable univers qui se met en place. Dans l’ensemble de ses romans, sous le couvert d’intrigues complexes et troublantes, on retrouve un même regard ironique, une même interrogation sur les enjeux fondamentaux qui agitent notre société.