* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Dans une école, il y a toujours un recoin inquiétant, un vieux local ou un placard à balais où il vaut mieux ne pas s'attarder. À l'école de Théo, cet endroit est un bout de couloir. Avant même que les événements de cette affaire surviennent, on appelait ce lieu le « corridor des mauvais sorts ». Dans cette espèce de triangle des Bermudes, des objets disparaissent, des disputes éclatent sans arrêt. Jusqu'ici, toutefois, personne n'y était disparu. Gaston, dont le casier donne sur l'allée diabolique, est aux premières loges pour faire ce qu'il fait le mieux : mener l'enquête avec son acolyte, Théo, qui nous raconte ici les dessous de cette affaire lugubre.
Karine Lambert a fait une maîtrise en études littéraires à l'Université du Québec à Montréal. Détentrice d'un baccalauréat en biochimie, elle a enseigné les sciences au secondaire pendant quelques années, mais l'obtention d'une bourse du Conseil des Arts du Canada lui permet désormais de se consacrer entièrement à l'écriture. Elle s'intéresse principalement à la littérature jeunesse et à la nouvelle pour adulte. Elle est née à Montréal où elle réside présentement. Le corridor des mauvais sorts est son troisième roman paru aux Éditions Pierre Tisseyre.
Dans une école, il y a toujours un recoin inquiétant, un vieux local ou un placard à balais où il vaut mieux ne pas s'attarder. À l'école de Théo, cet endroit est un bout de couloir. Avant même que les événements de cette affaire surviennent, on appelait ce lieu le « corridor des mauvais sorts ». Dans cette espèce de triangle des Bermudes, des objets disparaissent, des disputes éclatent sans arrêt. Jusqu'ici, toutefois, personne n'y était disparu. Gaston, dont le casier donne sur l'allée diabolique, est aux premières loges pour faire ce qu'il fait le mieux : mener l'enquête avec son acolyte, Théo, qui nous raconte ici les dessous de cette affaire lugubre.