couverture

Histoire du territoire de la ville de Saint-Jérôme, 1752-1877

Giroux, André

  • Éditeur : GID
  • ISBN 9782896340842
  • Paru le 28 février 2011
  • 24,95 $ *
  • Histoire

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Résumé

Pour les amateurs d'histoire, ce livre ouvre un volet insoupçonné sur les 125 premières années du territoire jérômien et met l'accent sur ceux qui sont à l'origine de son évolution, c'est-à-dire les colons, les artisans et les notables. Pour les amateurs de généalogie, cette étude est une source inégalée de documentation sur les familles souches de la grande région de Saint-Jérôme.

Biographie de l'auteur.e

Résident de Saint-Jérôme de 1946 à 1982, l'historien André Giroux a d'abord travaillé à Parcs Canada comme historien-rédacteur. À partir de 1978 et jusqu'en 1984, il a été coordonnateur puis rédacteur du Groupe de recherche sur les bâtiments en pierre grise de Montréal, dirigé par l'architecte Phyllis Lambert. De 1986 à 2004, il a été agent touristique et patrimonial à la Ville de Saint-Eustache. Membre de la Société d'histoire de la Rivière-du-Nord et de la Société d'histoire régionale de Deux-Montagnes, il participe à plusieurs publications et signe de nombreux articles dans La Revue des Deux Montagnes et La Feuille de Chêne. En 2009, il publiait aux Éditions GID Histoire du territoire de la ville de Saint-Eustache, 1 : L'époque seigneuriale, 1683-1854.

Quatrième de couverture

À l'origine, le territoire de la ville de Saint-Jérôme, et ce, jusqu'aux limites nord des municipalités actuelles de Piedmont et de Saint-Sauveur, fait partie de l'Augmentation de la seigneurie des Mille-Îles, concédée à Eustache Lambert Dumont, le 20 janvier 1752. Dès 1789, les premiers colons s'établissent dans ce qu'on appelle déjà la Rivière-du-Nord. Le développement s'oriente d'abord le long des côtes ou rangs autour du futur village. Le lotissement urbain, tracé autour du site de la première église, voit arriver ses premiers concessionnaires en 1838. C'est aussi à ce moment que plusieurs Jérômiens, appelés alors les « tuques bleues », adhèrent au mouvement patriote et participent nombreux à la bataille de Saint-Eustache, le 14 décembre 1837. La période post-rébellion est d'abord marquée par le développement rapide du village de Dumontville, devenu bientôt la ville de Saint-Jérôme. De 1842 à 1877, la population du territoire de la ville de Saint-Jérôme passe de 264 à 1800 personnes; toutes les structures sont alors mises en place pour faire de ce territoire la capitale religieuse, commerciale et industrielle des Laurentides. Pour les amateurs d'histoire, ce livre ouvre un volet insoupçonné sur les 125 premières années du territoire jérômien et met l'accent sur ceux qui sont à l'origine de son évolution, c'est-à-dire les colons, les artisans et les notables. Pour les amateurs de généalogie, cette étude est une source inégalée de documentation sur les familles souches de la grande région de Saint-Jérôme.