couverture

Paradis, moi... et les mots (Le)

Côté, Lilianne

  • Éditeur : GID
  • Collection : Fiction
  • ISBN 9782896341092
  • Paru le 31 mai 2011
  • 19,95 $ *

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Résumé

Bouleversée par un fait banal en soi, une femme d'âge mûr retourne en pensée sur les lieux de ses racines. Sur les bancs de l'école, avant la Révolution tranquille, la croix catholique lui offre la clé du paradis pendant que la langue française lui ouvre des coins de paradis. Peu à peu se construit son sentiment d'appartenance.« Dans mes veines, ça bouillonnait en français, et tant que je serais vivante, il en serait ainsi (...). J'étais née d'une race fière, béni avait été mon berceau. Si mon Dieu parlait français, si mon peuple parlait français, oui, sur la terre de mes aïeux venus de France, (...) mon bras saurait porter l'épée ».

Biographie de l'auteur.e

Native de Lac-à-la Croix, paisible village du Lac-Saint-Jean, Lilianne Côté est retraitée du milieu de l'éducation. Formée en pédagogie et détentrice d'un baccalauréat en littérature, cette Almatoise a enseigné le français au secondaire et assumé des tâches en animation. Au cours de sa carrière, elle a participé à un échange de professeurs avec la France, une expérience vécue en Bretagne, qui a contribué à raffermir son attachement à son pays d'origine. En 2005, elle a publié son premier ouvrage, un récit intitulé Un moment privilégié, lequel lui a valu d'être en lice au prix des lecteurs au Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean (2006).

Quatrième de couverture

Bouleversée par un fait banal en soi, une femme d'âge mûr retourne en pensée sur les lieux de ses racines. Sur les bancs de l'école, avant la Révolution tranquille, la croix catholique lui offre la clé du paradis pendant que la langue française lui ouvre des coins de paradis. Peu à peu se construit son sentiment d'appartenance.« Dans mes veines, ça bouillonnait en français, et tant que je serais vivante, il en serait ainsi (...). J'étais née d'une race fière, béni avait été mon berceau. Si mon Dieu parlait français, si mon peuple parlait français, oui, sur la terre de mes aïeux venus de France, (...) mon bras saurait porter l'épée ».