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Les faits de ce roman se déroulent dans une paroisse des Cantons-de-l'Est durant les années qui suivent la dépression de 1929. Nous y retrouvons les us et coutumes de l'époque : les écoles rustiques des rangs, les enfants qui marchent des milles pour aller au catéchisme à la sacristie du village, la veillée au corps dans la maison lors d'un décès, les grossesses rapprochées, le snobisme des gens de la ville et combien d'autres.
Née le 2 avril 1931, Rose Masson Dompierre détient un diplôme en enseignement général de l'École normale de Saint-Simon de Drummondville. Autodidacte, elle sait tout faire ou presque. Malgré un séjour au sanatorium et l'ablation d'un poumon, elle se marie, a quatre enfants qu'elle chérit, tient maison, mène une vie sociale et culturelle assez impressionnante. Elle a publié quinze livres : des contes pour ses petits-enfants et des livres à caractère historique sur Grosse Île. Pendant plus de vingt ans, Rose n'a eu de cesse de se dévouer pour cette île de la quarantaine. Sa participation exceptionnelle n'a pas de prix. Pour ses 80 ans, elle offre à ses lecteurs La petite fille qui voulait, roman commencé il y a... 53 ans. Pour Rose, il est important d'aller au bout de ses rêves et d'aimer la vie. Chaque seconde.
Les faits de ce roman se déroulent dans une paroisse des Cantons-de-l'Est durant les années qui suivent la dépression de 1929. Nous y retrouvons les us et coutumes de l'époque : les écoles rustiques des rangs, les enfants qui marchent des milles pour aller au catéchisme à la sacristie du village, la veillée au corps dans la maison lors d'un décès, les grossesses rapprochées, le snobisme des gens de la ville et combien d'autres. L'histoire se construit autour d'une famille dont le père, un fermier, accueille sa mère devenue veuve et ses frères et sœurs à qui il paie des études. Il héberge aussi, par nécessité, deux grand-mères, des oncles, des tantes et leurs enfants, des amis, des pauvres, des quêteux, des chiens et des chats… et ses propres enfants, une douzaine. Mais depuis la dépression, les produits de la ferme se vendent à bas prix tandis que les remboursements de l'hypothèque et des emprunts demeurent élevés. Ce fermier connaît tous les malheurs. Il perd même sa maison dans un incendie. Roshâ, à peine âgée de neuf ans (quatrième enfant du fermier), réalise la situation et prend sur ses épaules les problèmes de la maisonnée. Il s'ensuit une série de faits pathétiques, voire héroïques. Malgré les déboires, la petite fille qui voulait n'abandonne pas.