couverture

Presbytères anciens du Québec (Les)

Ferland, Claude

  • Éditeur : GID
  • ISBN 9782896343614
  • Paru le 31 janvier 2018
  • 34,95 $ *
  • Essais

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Résumé

La gamme des presbytères anciens, ces résidences de curé, est assez large, allant de la maison modeste de l'arrière-pays au véritable château des paroisses ou quartiers urbains prospères. Parce qu'ils sont beaux, qu'ils tiennent une place importante dans le paysage architectural et social de nos villages et des quartiers de nos villes, les presbytères du Québec méritent d'être mieux connus. Par des photos et des textes, l'auteur nous présente le corpus qu'il a choisi.

Biographie de l'auteur.e

Après sa retraite du monde des affaires, Claude Ferland a entrepris des recherches sur l'histoire du commerce, notamment à l'époque de la traite des fourrures et de ses représentants les plus colorés, les fameux voyageurs du Nord-Ouest. En 2016, il a publié aux Éditions GID Cadiens et voyageurs. Un parcours singulier au Pays d'en-Haut. Avec Les presbytères anciens du Québec, il dévoile une autre de ses passions. Il élargit maintenant la diffusion de ses travaux, tant par la publication de livres que par sa présence accrue sur l'Internet et les réseaux sociaux.

Quatrième de couverture

Ils sont des centaines, postés comme des gardiens auprès d'églises qui, elles, sont de moins en moins visitées ou alors converties à de nouveaux usages. Eux-mêmes perdent peu à peu leur fonction, deviennent mairies, bibliothèques, gîtes ou restos. Ce sont nos anciens presbytères, anciens parce qu'on n'en construit plus, et que beaucoup sont d'un grand âge. Ils ont néanmoins « du style », et même plusieurs styles d'architecture, qui sont souvent ceux de grandes résidences de laïcs. D'ailleurs, l'expression maison curiale est utilisée de temps à autre, pour rappeler le volet domestique de ce genre d'habitation. Au temps de la Nouvelle-France, c'était des résidences en général fort modestes, à la mesure des petits moyens de leurs ouailles. Mais au milieu du 19e siècle, à l'époque du démantèlement des seigneuries, les presbytères vont adopter « le gabarit des anciens manoirs ». La gamme des résidences de curé va rester assez large, allant de la maison modeste de l'arrière-pays au véritable château des paroisses ou quartiers urbains prospères. Parce qu'ils sont beaux, qu'ils tiennent une place importante dans le paysage architectural et social de nos villages et des quartiers de nos villes, les presbytères du Québec méritent d'être mieux connus. Par des photos (plus de 150) et des textes, l'auteur nous présente le corpus qu'il a choisi.