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Avant que l’oubli complet de ce que fut le cours classique et que le décès de tous ses membres ne l’efface dans l’esprit de tous, je veux que l’on connaisse l’histoire et la vie des gens du dernier cours classique au Canada français et surtout au Québec (1962-1970). J’ai fait partie de ces « derniers des vrais » dans l’un des établissements d’enseignement de la province : le Séminaire de Joliette. Je désire ici partager la vie quotidienne des étudiants : leurs aspirations et leurs souffrances, les restrictions imposées, les règlements et les punitions, les échecs, les renvois, les bons et mauvais coups, les drôleries et les bizarreries!
Avant que l’oubli complet de ce que fut le cours classique et que le décès de tous ses membres ne l’efface dans l’esprit de tous; je veux que l’on connaisse l’histoire et la vie des gens du dernier cours classique complet au Canada français et surtout au Québec (1962-1970). J’ai fait partie de ces « derniers des vrais » dans l’un des établissements d’enseignement de la province : le Séminaire de Joliette. Donc, à travers un groupe d’étudiants et d’étudiantes, au collégial seulement, d’un séminaire qui deviendra collège, je désire vous faire partager leur vie quotidienne : leurs aspirations, leurs rêves, mais aussi leurs souffrances, les restrictions imposées, sévères règlements et punitions, les échecs, les renvois, les bons et mauvais coups, les drôleries et bizarreries ! Parmi ces gens, se trouvaient bien sûr des prêtres (aucun, en 1970, au Séminaire de Joliette…), des avocats et des notaires et des médecins, mais aussi bien plus d’ingénieurs, d’administrateurs et d’artistes.