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Ce livre regroupe les principaux écrits qui retracent l’histoire de Murdochville, de son fondateur Alfred Miller en passant par les débuts de la mine, la grève de 1957 où s’est écrite une importante page de l’histoire du Québec, la fermeture de la mine et la lutte incessante d’une poignée de gens qui ont assuré la survie de leur ville et sa renaissance. La première partie retrace les pages d’histoire peu banale de Murdochville. La deuxième partie présente une série d’entretiens avec gens profondément attachés à leur patelin. Ils témoignent du fort sentiment d’appartenance qui les anime et qui contribue à garder vivante Murdochville et sa place dans l’histoire de la Gaspésie et du Québec.
Né à Carleton, Sylvain Rivière est écrivain, poète et journaliste de formation. Aux Éditions GID, il est l’auteur de nombreux ouvrages dont Jules Bélanger, le pays intérieur (Prix Bertrand-B.-Leblanc 2020), Journal de Charles Robin, son emploi du temps jour après jour 1767-1774, Adelme Porlier, duc du Chikanki, quêteux de grands chemins et ses disciples gaspésiens (Contes), Murdochville, la rebelle aux veines de cuivre dans la collection «100 ans noir sur blanc», Murdochville racontée par ceux qui l’ont vécu et, avec Ronald Labelle, L’arête de Forillon et La Butte à Mathieu. Il a reçu, au cours de sa carrière s’étalant sur quatre décennies, de nombreux prix et distinctions.
Murdochville, à qui l’on pourrait donner tant d’étiquettes, tant d’épithètes, la résistante, la résiliente, la survivante, et ce ne serait encore trop en dire pour la saluer avec tout le respect qu’elle mérite. Car trop souvent en Gaspésie, on oublie l’apport important que la ville de Murdochville eut et continuera d’avoir au fil du temps sur l’ensemble du territoire gaspésien. » Sylvain Rivière SYLVAIN RIVIÈRE a regroupé dans ce livre les principaux écrits qui retracent l’histoire de Murdochville, de son fondateur Alfred Miller en passant par les débuts de la mine, la grève de 1957 où s’est écrite une importante page de l’histoire du Québec, puis la fermeture de la mine jusqu’à la lutte incessante d’une poignée de gens attachés à leur milieu de vie qui ont travaillé avec persévérance pour assurer la survie de leur ville et sa renaissance. Si dans la première partie du livre, Sylvain Rivière retrace les pages d’histoire peu banale de Murdochville, il reproduit dans la deuxième partie une série d’entretiens avec des hommes et des femmes profondément attachés à leur patelin. Leurs souvenirs empreints d’humanité montrent que ce sont d’abord les gens qui donnent âme à un milieu de vie. Ils témoignent surtout du fort sentiment d’appartenance qui les anime et qui contribue à garder vivante l’histoire de Murdochville et de sa place dans l’histoire de la Gaspésie et du Québec..
