* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Face à l'insatisfaction généralisée envers la justice traditionnelle et à l'évolution des valeurs sociales, le législateur québécois a modifié la procédure civile et le système judiciaire classique en offrant la médiation judiciaire comme une alternative en matière de résolution de conflit permettant aux citoyens de participer aux décisions qui les affectent, de manière respectueuse et honorable, en toute confidentialité.La place de la règle de droit, de même que le rôle du juge, notamment son type et son degré d'intervention dans le cadre d'une médiation judiciaire ne font pas toujours l'unanimité. L'auteure y consacre donc une section et fait le point sur certaines craintes et réserves exprimées, de même que sur les éléments favorables à ce nouvel exercice de justice que constitue la médiation judiciaire.
Ginette Latulippe est bachelière en droit de l'Université Laval. Admise au Barreau en 1994, elle a toujours exercé sa profession en cabinet privé. Actuellement associée chez Heenan Blaikie Aubut, elle y pratique le litige civil, principalement en droit des assurances, en responsabilité professionnelle et en droit de la construction.
Face à l'insatisfaction généralisée envers la justice traditionnelle et à l'évolution des valeurs sociales, le législateur québécois a modifié la procédure civile et le système judiciaire classique en offrant la médiation judiciaire comme une alternative en matière de résolution de conflit permettant aux citoyens de participer aux décisions qui les affectent, de manière respectueuse et honorable, en toute confidentialité.La place de la règle de droit, de même que le rôle du juge, notamment son type et son degré d'intervention dans le cadre d'une médiation judiciaire ne font pas toujours l'unanimité. L'auteure y consacre donc une section et fait le point sur certaines craintes et réserves exprimées, de même que sur les éléments favorables à ce nouvel exercice de justice que constitue la médiation judiciaire.
