couverture

Conte de la neige

Soldevila, Philippe

  • Éditeur : DRAMATURGES ÉDITEURS
  • ISBN 9782896370849
  • Paru le 18 janvier 2016
  • 14,95 $ *
  • Théâtre

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Résumé

Le jeune Octavio, né à Québec de parents immigrants, au début des années 1960, passe des moments difficiles à l'école. Le sentiment d'exclusion et même parfois la discrimination semblent l'affecter. Sa vie ne serait-elle pas plus simple s'il s'appelait Louis Gagnon ? Pendant ce temps, le père d'Octavio, Joan, a le regard trop souvent tourné vers la lune. Il est écrivain et passe ses journées à taper sur sa machine à écrire. Il ne semble pas voir ce que vit son fils. « À quoi ça sert d'écrire des histoires ? », se demande Octavio. Heureusement, Octavio a une grand-mère, Neus, qui, tout en regardant tomber la neige et en évoquant le pays du soleil qu'elle a quitté, l'aide à construire sa propre identité.

Biographie de l'auteur.e

Philippe Soldevila, metteur en scène, auteur, traducteur et enseignant, assume la direction artistique du Théâtre Sortie de Secours depuis sa fondation, en 1989. Né de parents espagnols, il développe, avec sa compagnie, une démarche artistique guidée par une fascination envers les questions identitaires et la rencontre des cultures. En plus des pièces qu'il a écrites seul ou en coécriture, Philippe Soldevila a signé des oeuvres théâtrales adaptées de textes espagnols et catalans, dont Chroniques de la vérité occulte (d'après Pere Calders) et Le magicien prodigieux (d'après Calderón de la Barca). Entre autres prix et distinctions, il a reçu, en 1998, le Prix John-Hirsch du Conseil des arts du Canada, « en reconnaissance de son oeuvre de metteur en scène et d'un travail qui annonce des réalisations majeures sur le plan de l'excellence et de l'originalité ».

Quatrième de couverture

Le jeune Octavio, né à Québec de parents immigrants, au début des années 1960, passe des moments difficiles à l'école. Le sentiment d'exclusion et même parfois la discrimination semblent l'affecter. Sa vie ne serait-elle pas plus simple s'il s'appelait Louis Gagnon ? Pendant ce temps, le père d'Octavio, Joan, a le regard trop souvent tourné vers la lune. Il est écrivain et passe ses journées à taper sur sa machine à écrire. Il ne semble pas voir ce que vit son fils. « À quoi ça sert d'écrire des histoires ? », se demande Octavio. Heureusement, Octavio a une grand-mère, Neus, qui, tout en regardant tomber la neige et en évoquant le pays du soleil qu'elle a quitté, l'aide à construire sa propre identité.