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Dans le but de se découvrir, de s'affranchir et de devenir quelqu'un, cinq scouts décident de se rendre en trottinette à un « après-bal » à Saint-Polycarpe. Entre un épi de maïs et une bande de bourgeoises prétentieuses qui réclament toujours un peu plus d'alcool et d'attention, Maverick sera amené à choisir entre un destin prémâché, voire stéréotypé, ou quelques « je t'aime » chuchotés, sans canevas ni mode d'emploi. Écrit dans une langue acerbe et crue, Doggy dans Gravel recèle un profond désir de rire de nos excès et de porter un regard sur l'influence de la culture pop, de la porno et de l'électro qui pousse certains adolescents à se fiancer à quatorze ans. Un show aux relents de rock, effréné, près du zapping, du swipe ou du fast-food avec quelques mouvements plaqués qui côtoient la publicité. Bref, une fable grotesque, pleine d'autodérision, qui laisse transparaître l'état d'urgence dans lequel vit la génération Y.
Diplômé du Conservatoire d'art dramatique de Québec en 2016, Olivier Arteau est auteur, comédien et metteur en scène. Il obtient en 2014 le prix du Centre des auteurs dramatiques (CEAD) pour l'auteur le plus prometteur avec Le Monstre. Doggy dans Gravel est sa première oeuvre publiée.
Dans le but de se découvrir, de s'affranchir et de devenir quelqu'un, cinq scouts décident de se rendre en trottinette à un « après-bal » à Saint-Polycarpe. Entre un épi de maïs et une bande de bourgeoises prétentieuses qui réclament toujours un peu plus d'alcool et d'attention, Maverick sera amené à choisir entre un destin prémâché, voire stéréotypé, ou quelques « je t'aime » chuchotés, sans canevas ni mode d'emploi. Écrit dans une langue acerbe et crue, Doggy dans Gravel recèle un profond désir de rire de nos excès et de porter un regard sur l'influence de la culture pop, de la porno et de l'électro qui pousse certains adolescents à se fiancer à quatorze ans. Un show aux relents de rock, effréné, près du zapping, du swipe ou du fast-food avec quelques mouvements plaqués qui côtoient la publicité. Bref, une fable grotesque, pleine d'autodérision, qui laisse transparaître l'état d'urgence dans lequel vit la génération Y.