couverture

Poème debout (Le)

Royer, Jean

  • Éditeur : L'HEXAGONE
  • Collection : L'appel des mots
  • ISBN 9782896480616
  • Paru le 20 octobre 2014
  • 20,95 $ *

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Résumé

En plus de rendre hommage aux poètes de la génération de l'Hexagone, Jean Royer, sans sentimentalisme, prétend que tous les langages, ainsi que toutes les sensations, permettent la lecture du poème dans sa verticalité. Le poème devient alors un lieu d'exploration fertile des formes anciennes et récentes, même s'il en contourne les règles. Le poète parle de l'absolu de la poésie, l'aborde par les paysages et s'interroge sur la langue dans le poème. Il réaffirme que les formes se font et se défont, qu'elles sont au centre de l'écriture poétique. Jean Royer laisse entrer dans ses mots les mots des autres. Dans un grand souffle, la poésie traverse les frontières entre des mondes intérieurs.

Biographie de l'auteur.e

Jean Royer est poète, écrivain et journaliste. Il a dirigé les pages culturelles du quotidien Le Devoir à Montréal, où il a été critique littéraire de 1977 à 1991, avant de diriger jusqu'en 1998 les Éditions de l'Hexagone. Il a ensuite été président de l'Académie des lettres du Québec et de la Rencontre québécoise internationale des écrivains. Il a publié une quarantaine de titres dont Le Québec en poésie chez Gallimard et une Introduction à la poésie québécoise dans Bibliothèque québécoise. Il a reçu, entre autres distinctions, le prix Claude-Sernet en France et le prix Alain-Grandbois au Québec pour l'ensemble de sa poésie.

Quatrième de couverture

En plus de rendre hommage aux poètes de la génération de l'Hexagone, Jean Royer, sans sentimentalisme, prétend que tous les langages, ainsi que toutes les sensations, permettent la lecture du poème dans sa verticalité. Le poème devient alors un lieu d'exploration fertile des formes anciennes et récentes, même s'il en contourne les règles. Le poète parle de l'absolu de la poésie, l'aborde par les paysages et s'interroge sur la langue dans le poème. Il réaffirme que les formes se font et se défont, qu'elles sont au centre de l'écriture poétique. Jean Royer laisse entrer dans ses mots les mots des autres. Dans un grand souffle, la poésie traverse les frontières entre des mondes intérieurs.