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Même à quatre-vingt-cinq ans, le désir d'une forme nouvelle de langage ne s'est pas atténué, ni la passion de l'achèvement. Chaque poème nouveau soulève l'espoir d'atteindre enfin l'essentiel de la vraie poésie. Or, bien entendu, avec les deuils, avec le corps, l'esprit qui perdent un peu de leur densité originelle, la langue s'imprègne parfois des tonalités du crépuscule. Comment peut-il en être autrement ? L'horizon se rétrécit, certes, mais l'espérance ne perd pas le lien qu'elle a entretenu toute une vie avec le soleil.Fernand OuelletteFernand Ouellette est né à Montréal en 1930. Il a reçu le Prix du Gouverneur général du Canada à trois reprises, le prix David du gouvernement du Québec en 1987, le prix Duvernay, le prix Gilles- Corbeil de la Fondation Émile-Nelligan en 2002, le prix Alain- Grandbois de l'Académie des lettres du Québec en 2006 et sa médaille annuelle en 2010, ainsi que quelques autres prix au Québec, en France, en Suisse et au Bénin. En 2008, il reçoit à Paris le Grand Prix international de poésie de langue française Léopold Sédar Senghor. Son oeuvre comprend une quarantaine de titres en poésie, roman et essai. Après L'Inoubliable (trois tomes), les deux volumes de L'Abrupt paraîssent en 2009, et en 2013 : À l'extrême du temps.
Fernand Ouellette, poète, essayiste et romancier, est né à Montréal en 1930. Une quarantaine de titres jalonnent un parcours d'écrivain exceptionnel, qui lui a valu le prix Athanase-David, le Prix du Gouverneur général du Canada à trois reprises, le prix Ludger-Duvernay, le prix Gilles-Corbeil et quelques autres prix du Québec, de France et de Suisse. En 2005, il était nommé chevalier de l'Ordre national du Québec et en 2010 il recevait la médaille annuelle de l'Académie des lettres du Québec pour l'ensemble de son oeuvre.
Même à quatre-vingt-cinq ans, le désir d'une forme nouvelle de langage ne s'est pas atténué, ni la passion de l'achèvement. Chaque poème nouveau soulève l'espoir d'atteindre enfin l'essentiel de la vraie poésie. Or, bien entendu, avec les deuils, avec le corps, l'esprit qui perdent un peu de leur densité originelle, la langue s'imprègne parfois des tonalités du crépuscule. Comment peut-il en être autrement ? L'horizon se rétrécit, certes, mais l'espérance ne perd pas le lien qu'elle a entretenu toute une vie avec le soleil.Fernand OuelletteFernand Ouellette est né à Montréal en 1930. Il a reçu le Prix du Gouverneur général du Canada à trois reprises, le prix David du gouvernement du Québec en 1987, le prix Duvernay, le prix Gilles- Corbeil de la Fondation Émile-Nelligan en 2002, le prix Alain- Grandbois de l'Académie des lettres du Québec en 2006 et sa médaille annuelle en 2010, ainsi que quelques autres prix au Québec, en France, en Suisse et au Bénin. En 2008, il reçoit à Paris le Grand Prix international de poésie de langue française Léopold Sédar Senghor. Son oeuvre comprend une quarantaine de titres en poésie, roman et essai. Après L'Inoubliable (trois tomes), les deux volumes de L'Abrupt paraîssent en 2009, et en 2013 : À l'extrême du temps.