couverture

Mort du chemin des Arsène (Le)

Lemieux, Jean

  • Éditeur : COURTE ÉCHELLE
  • Collection : Roman adulte
  • 458 pages
  • ISBN 9782896511150
  • Paru le 11 septembre 2009
  • 29,95 $ *
  • Littérature québécoise

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Le soleil brillait entre l'île d'Entrée et l'Île du Havre-Aubert. Surprenant buvait sa quatrième tasse de café quand, à sept heures trente-deux, la sonnerie du téléphone fit se dresser les oreilles de Chat. C'était Marchessault. On avait trouvé le cadavre d'un homme dans le salon de sa maison du chemin des Arsène, à l'Étang-du-Nord. - Mort naturelle ? s'informa Surprenant en sentant son pouls saccélérer.- Avoir un trou d'un demi-pouce dans la poitrine, je dirais pas que c'est naturel.Romain Leblanc est trouvé mort dans sa maison, aux Îles-de-la-Madeleine. Une carabine posée sur ses jambes, les portes verrouillées, tout laisse croire que l'homme s'est suicidé. Cependant, le sergent-détective André Surprenant est sceptique. Pourquoi Romain Leblanc, musicien au sommet de sa gloire, coureur de jupons notoire, et venant de faire un gros héritage, se serait-il enlevé la vie? Au fil de son enquête, André Surprenant découvre peu à peu que, dans cet archipel sauvage et coloré, chaque secret en cache un autre...Un polar passionnant qui se dévore jusqu'à la dernière page.

Biographie de l'auteur.e

Omnipraticien en milieu psychiatrique et grand voyageur, Jean Lemieux trouve, malgré tout, le temps de s’adonner à sa passion: l’écriture. En plus d’avoir écrit deux romans pour adultes, La lune rouge et La marche du Fou, Jean Lemieux s’adresse aussi aux jeunes lecteurs par le biais de sa série FX Bellavance (Premier Roman). Il y a quelques années, il a aussi publié des romans pour adolescents, dont Le trésor de Brion pour lequel il a remporté le prix du livre M. Christie, ainsi que le prix Brive-Montréal. Pour son roman On finit toujours par payer, l’auteur s’est inspiré des nombreuses années où il a pratiqué la médecine aux Îles-de-la-Madeleine. C’est sans doute pour cette raison que l’on croit sentir le vent salin des Îles lorsqu’on lit ce texte.