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Une écrivaine part sur les traces de sa tante, morte tragiquement des décennies plus tôt. Avec cette femme au destin singulier qui n’a laissé que peu d’écrits, elle amorce une conversation impossible sur l’art, la folie, l’exil, la pensée et la mort, tout en faisant résonner un faisceau de correspondances poétiques.
Élise Turcotte dessine une généalogie de la tristesse et de la création, et pose son regard sur celles qui nous ont précédés, sur ce qu’elles nous apprennent sur nous- mêmes et ce qu’elles nous permettent d’imaginer. Parce que toutes les histoires, même les vraies, sont des fictions.
Poète, nouvelliste et romancière, Élise Turcotte a été maintes fois récompensée pour son travail. Elle a notamment remporté le Grand Prix du livre de Montréal pour Guyana (Leméac, 2011), deux Prix littéraires du Gouverneur général, pour son roman La maison étrangère (Leméac, 2002) et pour son recueil de poèmes destiné à la jeunesse Rose : derrière le rideau de la folie (La courte échelle, 2009), ainsi que le prix Ringuet de l’Académie des lettres du Québec pour L’apparition du chevreuil (Alto, 2019). En 2011, le Conseil des arts et des lettres du Québec lui a rendu hommage en lui décernant l’une de ses prestigieuses bourses de carrière.
Les livres parlent d’apparition et de disparition,. comme le cinéma et le théâtre.. Celui-ci n’est pas tout à fait un roman. ni un récit.. C’est la descente dans un puits,. une cérémonie mexicaine,. une enquête dans la ville.. C’est une photo où une femme apparaît. en personnage oublié.. Une boîte enchantée où mon visage. se dessinerait s’il le pouvait. dans un miroir inversé.. Une écrivaine part sur les traces de sa tante, morte tragiquement des décennies plus tôt. Avec cette femme au destin singulier qui n’a laissé que peu d’écrits, elle amorce une conversation impossible sur l’art, la folie, l’exil, la pensée et la mort, tout en faisant résonner un faisceau de correspondances poétiques.. Élise Turcotte dessine une généalogie de la tristesse et de la création, et pose son regard sur celles qui nous ont précédés, sur ce qu’elles nous apprennent sur nous- mêmes et ce qu’elles nous permettent d’imaginer. Parce que toutes les histoires, même les vraies, sont des fictions..