couverture

Fractale Baudelaire (La)

Robertson, Lisa

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Résumé

Premier roman d’une poète canadienne majeure, La fractale Baudelaire est un récit d’apprentissage et un art poétique, autant qu’un voyage dans les méandres du souvenir et une somptueuse méditation sur les vêtements, la ville, la peinture et la figure de la jeune fille. « La fractale Baudelaire est le récit dense et diffracté d’une double naissance : celle d’une femme et celle d’une vocation pour la poésie. Ou comment on devient soi à travers ses lectures — et souvent aussi contre elles. »

Biographie de l'auteur.e

Lisa Robertson, née à Toronto en 1961, a vécu à Vancouver dans les années 1980–1990, avant de s’installer en 2003 en France, où elle vit toujours. Depuis XEclogue en 1993, elle a publié plusieurs livres de poésie et deux recueils d’essais. En français sont parus Debbie : une épopée (Joca Seria, 2021), Le temps (Nous, 2016) et Cinéma du présent (Théâtre Typographique, 2015).

Quatrième de couverture

Un matin, dans une chambre d’hôtel de Vancouver, Hazel Brown découvre au réveil qu’elle a écrit l’œuvre entier de Baudelaire. Sous le choc de cette révélation, elle replonge dans sa mémoire de fille et raconte l’époque où, poète sans le sou, elle vivait en dandy dans le Paris des années 1980 : les chambres miteuses et les garçons maigres, les gages de domestique et les fripes griffées. Si elle est sûre de sa vocation, la jeune Hazel se débat avec ses désirs. Comment incarner une autre féminité que celle, réifiée, que lui renvoient ses amants et ses employeurs, comme la littérature elle-même ?. Premier roman d’une poète canadienne majeure, La fractale Baudelaire est un récit d’apprentissage et un art poétique, autant qu’un voyage dans les méandres du souvenir et une somptueuse méditation sur les vêtements, la ville, la peinture et la figure de la jeune fille.. « La fractale Baudelaire est le récit dense et diffracté d’une double naissance : celle d’une femme et celle d’une vocation pour la poésie. Ou comment on devient soi à travers ses lectures — et souvent aussi contre elles. ». — Christian Desmeules, Le Devoir. « Un nouveau livre de Lisa Robertson, c’est à la fois une grande fête et une sorte d’orgie privée. ». — Sina Queyras, Los Angeles Review of Books. « En ce qui me concerne, c’est déjà un classique. ». — Anne Boyer. « L’œuvre de Robertson propose une défense philosophique de la jeune fille, une célébration de la dandy ménopausée, une échappée spéculative hors des contraintes du genre, et un portrait de la lectrice en flâneuse. ». — Andrea Brady, London Review of Books. « Il y a dans ce roman une somptuosité et une liberté à nulle autre pareille. ». — Bardia Sinaee, Literary Review of Canada.