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Accéder à une conscience trouble devant un monde qui déraille. Habiter la pensée d’un homme, tressée d’images d’une langue riche et audacieuse. Se laisser emporter dans une quête improbable. Se demander si, à trop écouter cette voix, on n’en perd pas de vue la vérité. Un roman d’une très inquiétante étrangeté…Mais qui est donc cette « morte du métro » qui obsède Albert ? Où a-t-il vu cette femme avant ? Qu’a-t-elle voulu lui dire ? Albert tente de retrouver la morte, du moins un peu de ce qu’elle a laissé derrière. Il rencontre plusieurs imposteurs qui l’entraînent sur de mauvaises pistes, se méprend sur les noms, les identités, se met à douter des images, des lieux, même des faits. Tandis qu’il s’égare dans le passé d’une morte, il poursuit inconsciemment une quête de vérité sur lui-même et découvre tout un pan de sa vie érigé en trompe-l’oeil.
Cassie Bérard a grandi à Donnacona et habite à Montréal. Elle est titulaire d’un doctorat en études littéraires de l’Université Laval et travaille actuellement dans le milieu de l’édition et de l’enseignement. Après « D’autres fantômes » (Druide, 2014), « Qu’il est bon de se noyer » est son deuxième roman.