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S’inspirant d’une nouvelle écrite il y a quelques années, Hugues Corriveau replonge au coeur d’une des thématiques qui lui sont chères : celle de l’enfance blessée, au détour de crimes involontaires et d’innocences brisées. À travers les yeux de Thomas, un jeune garçon, l’on vit le drame et l’enquête, grâce à laquelle se déploieront les trames d’un passé meurtri. Un récit intrigant, prenant.***RésuméThomas s’amuse à voler de la gomme à mâcher Bazooka au dépanneur du coin. Un soir où il s’apprête à commettre son larcin habituel sous l’oeil complice de la fille au comptoir, deux voleurs entrent et tuent cette dernière. L’enfant, terrifié, se retrouve avec, entre les mains, le révolver des deux assaillants et commet l’irréparable. Au fil de son enquête, un homme patient cherchera à comprendre pourquoi Thomas a tiré, voudra savoir si ce geste a un lien avec la mort de son frère aîné, Will, survenue deux ans plus tôt. Un récit qui, avec une grande délicatesse et une profonde tendresse, dévoile l’imagination fertile de l’enfance face au poids du passé et des drames du quotidien.***L’auteurHugues Corriveau est poète, romancier, nouvelliste et essayiste. Cinq fois mis en nomination pour le Prix du Gouverneur général du Canada, entre autres pour Les enfants de Liverpool (Druide, 2015), il a reçu de nombreux prix littéraires, dont le Grand Prix du livre de la Ville de Sherbrooke à trois reprises et le prix Alfred-DesRochers à deux reprises. En 1999, l’Académie des lettres du Québec lui remettait le prix Alain-Grandbois pour son recueil Le livre du frère (Éditions du Noroît, 1998). La fêlure de Thomas est son 33e livre.
Hugues Corriveau est poète, romancier, nouvelliste et essayiste. Cinq fois mis en nomination pour le Prix du Gouverneur général du Canada, entre autres pour Les enfants de Liverpool (Druide, 2015), il a reçu de nombreux prix littéraires, dont le Grand Prix du livre de la Ville de Sherbrooke à trois reprises et le prix Alfred-DesRochers à deux reprises. En 1999, l’Académie des lettres du Québec lui remettait le prix Alain-Grandbois pour son recueil Le livre du frère (Éditions du Noroît, 1998).